Lundi 17 février 2014 à 11:32

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Dans la maison carrée, la mère se sacrifie mais ce n'est qu'un jeu. Affiché sur le portable: personnage éliminé. Les portes sont impossibles à fermer, alors que le vent se presse, et le sentiment d'urgence prend peu à peu le dessus. Tant pis, nous abandonnons la première porte, à l'armature de bois, qui claque dans le vent. Mais les autres se ferment mal, on a beau tourner la clé à double tour, rien n'y fait. C'est ma maison, ici, alors j'essaie de prendre les choses en main, mais je n'y arrive pas, les portes se rouvrent, offertes au vent et à la nuit. Je suis seule avec G. et E., je me demande pourquoi eux, et j'essaie d'être la plus gentille possible, ce qui traduit mon malaise. La mère est montée dans l'escalier en haut pour se donner à l'ennemi, je suis seule avec eux. Avant de monter, elle m'a vite donner l'emplacement des cachettes et les informations précieuses, comme on transmet une mission. Je ne sais pas ce qu'ils sont, eux (G. et E.), ils sont dans l'entrée de la maison carrée et j'aurais aimé qu'ils soient ailleurs, mais c'est le jeu. Je ne sais pas où ils en sont et ce qu'ils savent. Je me sens seule et les fenêtres n'en finissent pas de siffler.     Mais je crois que tout cela n'est qu'un jeu    Pourquoi dès lors ai-je si peur ?     Pourquoi sont-ils là ?   Pourquoi suis-je si triste ?

Un parc d'attraction où plusieurs scènes se mêlent. On peut choisir un déguisement avant de monter, je suis celle du groupe qui s'en rend compte, alors quand je reviens, la famille M. me regarde bizarrement (Elle a changé de coupe ? de coiffure ?) J'ai un grand décolté et une jupe moulante violette. Je ne dis rien pour voir s'ils comprennent. Je suis déçue car, contre toute attente (et contre leur nature même), ils ne disent rien, ou me font des remarques éparses, sans chercher à comprendre. Nous allons chercher les tickets: il y en a un marron et des jaunes, je ne suis pas sûre qu'ils en ont pris un pour moi mais je m'en vais quand même avec eux. On commence à aller vers l'attraction, le chemin est compliqué, peu clair et difficile à distinguer des queues pour prendre les tickets. Juste après l'estrade pour les tickets, il y a le chemin, avec une descente sans marche, pas très haute, mais j'ai peur de glisser et je m'accroche à la rembarre sans y aller. J'ai peur qu'on me fasse une remarque si j'attends trop. Je continue à déambuler sur le chemin mal indiqué (voire pas indiqué) de la queue, j'attends avec impatience de trouver le moment où les gens commencent à s'agglutiner réellement. C'est à l'entrée d'un bâtiment blanc. Il commence à y avoir des gens, mais ils continuent d'avancer: peut-être qu'il n'y a pas trop de monde ! Devant nous, un groupe entièrement déguisé avec un vêtement blanc avec des pois, on dirait un déguisement de boulanger japonais (me dis-je). Ils sont extrêmement joyeux et fières d'eux. Je souris avec complicité. La famille M. se demande pourquoi, et se dit que c'est dommage de gâcher de tels déguisements dans une attraction. Intérieurement, je me dis "mais c'est fait pour!", mais je ne dis rien. Finalement, ils le comprennent, mais ne sont pas aussi chaleureux avec moi que je m'y attendais. Ils choisissent un déguisement, je crois qu'il y en a qui prennent le même que moi, pour faire une unité et par ce qu'il est assez flatteur. On continue de marcher doucement et je me figure l'attraction que l'on va faire, je sais qu'il y a de l'eau.
(...)
Je marche à travers le parc, avec une autre famille, je ne sais pas exactement qui. (La famille A. a été dans ce rêve mais je ne crois pas que ca soit là). Je visualise le paysage, très moderne, avec un bâtiment blanc, sans étage, avec des fenêtres multicolores. Le site parait aller à l'infini et on voit bien les différents bâtiments. Tout d'un coup, une énorme bannière publicitaire se déploie (Michelin) et je me rends compte qu'au flanc de la montagne, il y en a une autre immense, avec la tête de quelqu'un. Je me demande ce qui se passe, on doit fêter ou commémorer quelque chose. (...) Dans le bâtiment aux vitres colorées, il y a une piscine à boules. Les enfants jouent et sans faire exprès je fais une blague avec un gros mot ("ta gueule"): la petite fille panique soudain, et moi aussi. Elle me met le doigt sur la bouche, je fais de même et elle a oublié. Elle a une clé autour du cou, une clé assez grossière. Les parents n'ont rien entendus, je suis soulagée, ils discutent un peu plus loin. Mais j'ai honte et je commence à me sentir triste. (...) J'ai d'un coup envie de faire l'amour (...) Les images se mêlent et je n'en veux plus, je me réveille et me rendors comme pour essayer de changer de programme. Je vois G., E., les familles.

Je me réveille, puissamment triste.
 
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