J'ai peur.
Mon coeur qui explose. La musique me berce.
Et si j'ose ?
Tout presse.
J'enroule une écharpe invisible autour de ma nuque. La vitre de l'autobus se teinte de respiration, en rythme de mes souffles. La musique est si forte que je crispe mes doigts. Allez, cours cours, petite bus. Envole toi. Comme moi je tourbillonne, comme moi je file. Toujours plus vite, s'il te plait, suis moi. Suis le, suis nous. C'est la nuit et les lumières artificielles tamisent l'espace. Je pers l'espace, il roule sous moi. J'ai envie de pleurer. Je me sens si bien, il y fait chaud. Laissez moi en cinéma et le voyage ne se terminera jamais. Je me suis réveillée. Ce matin. Des fois, des rencontres à soi fulgurantes. Bien sur, il fallait que tu passes juste à ce moment là.
"Tout ça me tourmente, tout ca me tourmente un peu"
à partir de 2min41 à peu près, c'est juste WHAOU
Laissez moi hurler. HURLER. Je. Non. Tue le. Tue ce je. Tue ce G. aussi. Détruis ce qui te fais du mal. Mais je ne peux pas. Je ne peux pas. Quand l'intérieur se claque au mur La violence exalte la vérité d'impuissance. Je peux parler à H. et l'aider
Chaque passion est ivresse.
Ivresse, lucidité de ..
Tout ?
"Ya plus de cosmos au dessus de nos balcons"
DECUE DE VOUS, DECUE DE NOUS
Je me recroqueville et j'ai envie de me vomir.
Les valeurs. Laissons tomber nos croyances Mais la connaissance n'est pas la vérité.
Où suis-je ?
Prends mes mains, elles tremblent. Infinité subliminale. Prends. signifie moi que je ne suis pas seule. Quand la panique tristesse attaque, on se déshabille, comme s'offrir au viol de sa propre intériorité. Nue, dans une prison artificielle de nos propres mots. Arracher les pierres avec les ongles. S'arracher les ongles avec les pierres. Et je me frappe moi même à me dire que mes larmes sont indescentes. Prends mes mains. Souffle moi sur la nuque. Doucement. Sensualités. Réaccorde moi avec la réalité matérielle que mes élans m'enlèvent. Aide moi. S'il te plait. Mais tu n'es pas là. Et je crie. Et personne n'est là. Par ce qu'il n'y a que toi que je veux ? Aussi, je m'isole. J'ai peur de moi même dans ces états et je m'enferme comme on exclue un fou, ou une bête. La lucidité forcée hurle sous la torture des déceptions et avoue : "désillusions" avant de se taire. Laisser le noir.
Je voudrais me raccrocher. Mais c'est l'incommunication qui règne. Et les toiles d'araignées que je tissent autour des autres, pour me les éloigner. Me punir ? Mais c'est l'inconfiance qui reprend du terrain. Et c'est ton amour. Toujours trop là. Crac. Les sangs coulent, inflitrent mes eaux. Le rouge. De ton coeur. Du mien. De nos chairs. Envolées, jamais là.
Incendie. Les ciels enflammés. J'ai rêvé du feu. Et c'est la destruction, ce soir. Les flammes mangent et consument. Bientôt les cendres. Bientôt descendre. Violences. COURS ! Les flèches envoyées. Ferme tes yeux. Je te protègerai jusqu'à ma vie, je l'ai vu. Protège moi alors, si tu fermes les yeux.
Je suis dans le train qui m'emporte. Je sais où il va mais je ne sais pas l'endroit. Appuyée contre un mur. Je fixe des points pour me concentrer et laisser les musiques sortir de moi. J'ai tellement mal. J'ai tellement mal. Sortez. Je vous en prie. Sortez.
Je murmurerai des inepties, j'en écrirai d'autres, les yeux qui me brulent. Pour sentir. Que je n'ai pas tout perdu. Que je n'aurai jamais tout perdu. Même si mes peurs, les soirs, les faits, les malchances et les douleurs remettent en cause. Faire de tout cela un départ. Dépasser les trahisons, même celle de soi.
Cette chanson aussi, elle est ...
Je voudrais me raccrocher. Mais c'est l'incommunication qui règne. Et les toiles d'araignées que je tissent autour des autres, pour me les éloigner. Me punir ? Mais c'est l'inconfiance qui reprend du terrain. Et c'est ton amour. Toujours trop là. Crac. Les sangs coulent, inflitrent mes eaux. Le rouge. De ton coeur. Du mien. De nos chairs. Envolées, jamais là.
Incendie. Les ciels enflammés. J'ai rêvé du feu. Et c'est la destruction, ce soir. Les flammes mangent et consument. Bientôt les cendres. Bientôt descendre. Violences. COURS ! Les flèches envoyées. Ferme tes yeux. Je te protègerai jusqu'à ma vie, je l'ai vu. Protège moi alors, si tu fermes les yeux.
Je suis dans le train qui m'emporte. Je sais où il va mais je ne sais pas l'endroit. Appuyée contre un mur. Je fixe des points pour me concentrer et laisser les musiques sortir de moi. J'ai tellement mal. J'ai tellement mal. Sortez. Je vous en prie. Sortez.
Je murmurerai des inepties, j'en écrirai d'autres, les yeux qui me brulent. Pour sentir. Que je n'ai pas tout perdu. Que je n'aurai jamais tout perdu. Même si mes peurs, les soirs, les faits, les malchances et les douleurs remettent en cause. Faire de tout cela un départ. Dépasser les trahisons, même celle de soi.
Cette chanson aussi, elle est ...