Ma haine a fait son choix et sur moi s’est portée. L'histoire d'un homme qui ...
Les souvenirs pressent quand on les ouvre et la chaleur pétrie nous affole de son poids perdu dans l’importance d’hier.
Ses poumons explosent sans en avoir l’air. La lune sombre avec l’ignorance crasse des mauvais jours où l’écho est silence et le fer dans la poitrine. Il avance en faisant valser son âme contre les mères, toujours plus meurtri des faux sons du noir. Le froid chante.
Il entre dans la pièce et s’enferme de partout, les portes closes roulées à l’obsession d’un trop. Les brisures ne sont que des plaies plus propres, allongées languissantes où la langue se coupe. Il voulait être seul, il ne l’est plus du tout.
Les camélias ternies s’accrochent à la source et baisent les fleurs qui les emportent en algue.
Il dit : j’ai trouvé où me noyer
Il se tait en saccade, les pensées pressent la possible vaillance d’un lâche effrayé des autres. Bordel, il ne pleurera pas. Sa main dans les cheveux, il y a des choses qu’on ne dit pas.
Au revoir, M...