Danse, danse dans les fureurs de ta propre nuit, se fracasser la tête dans tes étoiles. Et rire, à en faire sourire la lune. Ma folie, ma douce folie, au creux de ma poitrine, rend moi plus moi.
Danse, danse dans les arabesques froissées des courses perdues d'avances avec force et grandeur. Tourne tourne à en voir le monde flou par nature, et non plus par convention : les limites embrassées se rejoindront en nous. Tu vois. Le monde en moi et moi en lui dans l'intensité du plus-savoir qui se cherche, dans le gouffre des frontières qui s'oublient. Les larmes aveuglent les miroirs, jamais l'intérieur. Danse danse, comme si c'était la dernière, seule au prise avec l'infini d'un tout protecteur.
Danse danse danse danse danse. Explose en puissance, feux d'artifices. A nue dans la nuit des essence, tranquille dans l'absolu qui se sait, sur le fil tenu des contradictions. Disparait dans les particules d'airs, vit dans chaque chose, traversée en entier, il n'y a plus de frontière.
L'ivresse c'est la tentative de s'intégrer, de s'exploser en atomes infinis, dans le flou du désespoir, de l'amour, de la vie, laisser respirer le tourbillon de soi avec l'absurde confiance du tout.
Danse, danse dans les arabesques froissées des courses perdues d'avances avec force et grandeur. Tourne tourne à en voir le monde flou par nature, et non plus par convention : les limites embrassées se rejoindront en nous. Tu vois. Le monde en moi et moi en lui dans l'intensité du plus-savoir qui se cherche, dans le gouffre des frontières qui s'oublient. Les larmes aveuglent les miroirs, jamais l'intérieur. Danse danse, comme si c'était la dernière, seule au prise avec l'infini d'un tout protecteur.
Danse danse danse danse danse. Explose en puissance, feux d'artifices. A nue dans la nuit des essence, tranquille dans l'absolu qui se sait, sur le fil tenu des contradictions. Disparait dans les particules d'airs, vit dans chaque chose, traversée en entier, il n'y a plus de frontière.
L'ivresse c'est la tentative de s'intégrer, de s'exploser en atomes infinis, dans le flou du désespoir, de l'amour, de la vie, laisser respirer le tourbillon de soi avec l'absurde confiance du tout.
La fin est très vraie :)