Au corps de la nuit, suspendue à son cercle infini, et à la porosité du temps.
Glissée au creux du soir,
A l’abri du jour, à l’abri du temps.
A l’abri du toujours, éclose à l’instant.
Je,
Foulée du chant sacrée du noir Paris.
Et de ces airs, et de ces airs.
La fraicheur unie des courses claires de la Tour
Volée par-dessus les doigts de la ville
Et mon cœur mouillé sur le pavé éclatant.
Elle est toujours là, la nuit.