Mardi 17 juin 2014 à 10:28

http://imparfaiite.cowblog.fr/images/1/Bpwv6AcIEAAJvWp.jpg

Samedi 7 juin 2014 à 22:44

http://imparfaiite.cowblog.fr/images/1/0d2f2305e3ea2855b039337fe6e3275d.jpg
Je marche seule dans les alentours. La ville m’appelle de son souffle impatient. Je reprends la mer

Je cherche qui je suis,

Et j’irai éclore au creux de la vie, discrète comme un nuage. J’irai grandir à même le jour

Libère ton écrire Julie !

Je repense à toi et tes mots de nuit, « tu es un lointain fantasme ».

Depuis que je née, la vie avance

 

Je voudrais pouvoir chanter encore, te glisser doucement les mots de mon cœur dans les yeux, tournoyer librement. Cela sera bientôt. La liberté, le bonheur et l’identité, c’est un travail à même la vie, qui peut éclore en moments de grâce mais rien n’est figé, et je dois continuer, à me reapproprier chaque jour ce que je suis-ce que je veux être.

Paris a enfin avalé la pluie, restée présente ce matin, Paris revêt son odeur d’été, l’odeur de ses soirées qui appellent à l’ivresse. Dans ces moments, des souvenirs se réveillent également. Ce sont les souvenirs d’été qui refleurissent, les étés tumultueusement tristes et joyeux. Mes étés à Paris ont toujours été le temps des plus grandes ruptures (factuellement, vécues plus ou moins là). Le prochain promet d’être plus calme, dans la continuité de mon monde. Premier été entier à panam, et l’horizon dégagé (serait-ce une invitation ?). Serait-ce une invitation ?

La douleur qui dort en moi m’offre des instants de courage, et je sais que je fais du chemin.

Samedi 7 juin 2014 à 0:06

http://imparfaiite.cowblog.fr/images/1/a55119c565e831a61f230cb65e481940.jpg
Des morceaux de monde tombent à même le ciel,
Et ils s'inscrivent dans une boucle infinie
Lui, il court autant qu'il peut
Cherchant quelque chose de vital, au milieu des champs de roses
Le monde se dilate et respire de la fumée noire
Dans les spirales infinies qui couvrent le sol
Je te regarde avancer au coeur,
Et tes yeux projetés à l'avenir

Nous cherchons une sorte de paradis dans le creux des fleurs
Nous dans une folie ancrée dans ton être
Dans la confiance éperdue de la voix qui te guide
Et te murmure de continuer dans ces tumultes hideux
Qui te crient que tu es là

Nous entendons une forme de paradis derrière le désastre

<< Présent | 1 | Passé >>

Créer un podcast