Mercredi 30 septembre 2009 à 22:42

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On fonce on court au fond de la cour
Et on trace a la craie les traits du ciel
Les contours de la marelle
Et je sais
Que je ne ferai pas la traversée
Et je sais que je n'atteindrai  pas le ciel
Si il fallait
Je recommencerai
Si l'on pouvait, jouer encore un peu

La traversée - Da Silva
  ( Ecoutez l'album que je découvre : ici)

Les moments de rien. Je te cherche des yeux. L'esprit comprimé. L'esprit compris. L'esprit a-t-il compris?

J'ai des mots au bord des doigts, des yeux qui veulent écrire et je ne sais. Trop de choses. La vie. Les doutes, beaucoup de doutes. De la musique, énormément de musique, enfin. Les lignes. Une certitude : la vie.

Dimanche 27 septembre 2009 à 13:03

http://imparfaiite.cowblog.fr/images/6a00e5508e95a988330120a566488e970c640wi.jpgTout me semble si décalé ce matin. Je ne sais. J'ai l'impression que les choses sont différentes alors qu'elles semblent les mêmes. Il est 11 heures et 44 minutes. Je jette comme si souvent un regard sur ma fenêtre pour vivre le temps qu'il fait dehors. Mon lit est envahit de livres, de prise de notes. J'entends la conversation des gens qui parlent en vélo. Il y a la musique aussi et le bruit du clavier. Et l'intérieur qui vibre. Tout parait s'inscrire dans le cadre d'une normalité relative. Mais j'ai l'impression étrange. Brouillée. que je pourrais déchirer le coin des coins comme on arrache la tapisserie. Ma main hésiterait presque à essayer. Voyons.

Il y a eu quelque chose hier. Un truc tellement fou que, peut être, ca n'a pas fini m'emmêler le regard.

Je marche dans la rue, l'épaule qui crie par le poids du sac, en bandoulière. Je vais à la médiathèque. Quand on arrive, c'est un grand gris, et il y a une cage noire, la bibliothèque est à l'intérieur. Je commence à monter les marches. J'entends. Un bruit, tout petit, tout court. J'ai cru un moment que j'avais rêvé mais je suis curieuse, j'ai tourné la tête. Rien. J'ai avancé les jambes. Je l'ai vu. Il y a avait dans les coins de béton, une fille assise, sur un bloc. Elle pleurait. Elle était jolie, brune, les cheveux courts, un air impressionnant. A peu près mon âge, peut être plus vieille. Je monte une marche. Mon coeur se rétracte. J'en redescend une, deux, trois. Je vais vers elle. Arrivée presque à sa hauteur, je me sens bête. "Qu'est ce je fous là ?" Je cherche dans mon sac un paquet de mouchoir, je me place devant elle. Elle me jette un regard confus. Entre le "Laisse moi tranquille", le "Qu'est ce que tu fous là ?", la honte d'être regardée ainsi. J'ai envie de m'enfuir. Par ce que je me sens bête avec mon paquet de Kleenex. Je me laisse soudain à penser que si vraiment elle voulait être toute seule, elle aurait fui la rue, même la rue déserte. Inspiration. Phrase qui sort toute seule : "Tu veux un mouchoir ?". Son regard s'embrouille d'autant plus, car j'y vois maintenant de la réelle surprise. Elle me fait oui de la tête. Je lui sors le papier blanc. Elle le prend. Et l'agrippe, le froisse dans sa main. Je suis toujours debout. Je m'assoie à côté d'elle. Le silence s'installe. Comme depuis le début, je me demande toujours ce que je fous là. Je repense à tous les moments de silence de ma vie qui me reviennent. Et je me met à fixer les gens. Faire semblant que je me distrais. Nouvelle inspiration. "C'est un histoire de coeur ?". La fille se retourne d'un coup, vers moi. Je la détaille du visage. Vraiment, je la trouve jolie. Elle essuie une larme rageusement et me dit : "oui". J'esquisse un sourire que j'essaye de rendre compréhensif. Je l'encourage à continuer. Elle le sent : "C'est si prévisible ? Je fais la gamine éplorée sur le banc de square qui pleure un amour perdu ?" Aie. Rage. Prend cela dans ta tronche. Impulsion, je réponds : "Ouais, enfin bon, t'aurais pu au moins choisir un coin avec des arbres et des petits oiseaux". Merde, je pense, pourquoi j'ai dis cela ? Mais la réponse semble lui plaire car elle soupire et, je crois voir un sourire. Avec un ton d'excuse, elle me dit : "Je me fais pitié." Je lui réponds : "Tu sais, on fait toujours ce qu'on peut. ". Je me maudis de mes phrases vides. Mais cela n'a pas l'air de la déranger. De nouveau, le silence. Mais, différent. A plusieurs moments, elle se tourne vers moi. Je sens que les mots sont sur le bord de ses lèvres. J'aimerais qu'ils sortent, sans moi. Ses yeux sont toujours rouges et ils se brouillent par a coups. Elle envoie valser ses pleurs par des gestes rageurs ou des petits coups de mouchoir. Elle s'arrête des secondes entières pour me dévisager. Elle essaye de me comprendre. D'un coup, je sors : "Moi non plus, j'ai aucune idée de pourquoi je suis là, à côté de toi. Mais je crois qu'on s'en fout, non ? ". Elle se relève brusquement. Merde, j'ai peut être mal joué. Mais non, elle se détend. "Tu as raison. On s'en fout.". Je la sens plus à l'aise. Je brise une nouvelle fois le silence. "Tu veux m'expliquer ce qui se passe ?". Elle croise les genoux, pose sa tête sur poing. Elle réfléchit. Les mots s'entassent au bord de mes lèvres à moi. J'ai envie de dire qu'elle est pas obligé, que je m'en fous, mais non c'est pas vrai mais en même temps voilà par ce que ... c'est le bordel, je me tais. Elle dit, d'un coup, me met au pied du mur : "Amour impossible.". Elle me lance cela avec un regard de défi. Moi, ca me retourne. Moi, je sais plus quoi faire. Par ce que... Par ce que ca hurle que je savais très bien, depuis le début, pourquoi j'étais venu la voir. Par ce que ca me hurlait que c'était dégueulasse ce qu'elle vivait. Par ce que ca me hurlait des milliers de choses. Et je sentais son regard brulant, comme un victoire d'une partie d'elle qui me disait, l'air hautain : "AHAH et elle fait quoi Mère Theresa ?". Je me suis sentie submergée. Je l'ai prise dans mes bras.

Sous le coup de la surprise, elle s'est laissé faire et j'ai vu peu à peu tomber toutes ses barrières. Son corps s'est détendu et les pleurs se sont intensifiées. Elle m'a paru minuscule. Et moi énorme. Elle s'est accrochée à moi. Elle murmurait des trucs, je ne les comprenais pas. A la réflexion, je me pense qu'elle se les disait plus pour elle-même. Je resserrais mon étreinte. Mes pensées s'entrochoquaient tellement qu'elles formaient un énorme vide. Le temps a défilé. Il y avait les bruits de la ville, les bruits de ses pleurs, le bruits de mon intérieur en folie et tout cela formait une sorte de silence. A un moment elle a commencé à parler plus fort, elle s'est sortie de mes bras. Elle m'a regardé. "Je ne comprends plus rien, pas. Je veux pas comprendre." "Qu'est ce qui se passe ?". Elle s'est remise à pleurer. Et puis, elle a pris une grande inspiration. Elle m'a regardé dans les gens pour ne rien louper de ma réaction. C'était comme une scène de film. une scène de film crétin et mon coeur s'est mis à battre sans que je sache pourquoi. "Je ..." Silence et puis, d'un trait ; "Jesuisamoureeusedemonprofd'histoire".

Je l'ai relaché d'un coup. PAM. Un mur dans ma tronche. une envie de hurler. PAR CE QUE TOUT CELA CRIAIT CRIAIT CRIAIT. J'avais l'impression d'être un film français avec de beaux moments, enfermée dans quelque chose, qu'on allait sortir et me faire "surprise, c'est dans la boite, ca sera génial dans le nouveau Klaspish.". Elle me regardait toujours sans comprendre. J'ai foutu un coup de pieds dans mon sac. J'avais envie de partir. Elle a repris son regard du début : "Ca te choque, c'est ca?". "Genre" "Bah alors quoi ?". Je réponds pas. Silence. Silence. Silence. Je reprends ma respiration : "Excuse moi." Silence. Je continue : "C'est juste que des fois j'ai l'impression que la vie se fout bien de ma gueule." Elle me regarde, me poussant à continuer. "J'ai été, ou je suis, je ne sais pas, amoureuse d'un prof." BAM, dans sa gueule, cette fois. Elle me regarde. On se regarde avec des yeux méfiants. Je pense qu'on réfléchit exactement à la même chose. Notre amour dans les bras, on avait l'orgueil de se dire qu'on vivait quelque chose d'unique. Cette inconnue qui vient voler le romanesque de notre histoire imbécile, ca chamboule. D'un autre côté, j'imagine qu'elle a du, comme moi, espérer quelqu'un qui la comprendrai, où il n'y aurait pas de risque de malentendu, où la personne fait un petit sourire et disant "oh, oui moi aussi, j'ai eu un béguin pour un prof". Et l'envie de fracasser la tête à cette même personne. Et tout les autres qui ne se rendent pas compte. Mais même si cette sensation est lourde, elle donne un sentiment d'importance, de garder un trésor que personne peut comprendre. Elle brise le silence, sec : "Mais toutes les histoires sont différentes, de toutes façons." Oui. On se calme. Je lui demande "ca fait longtemps ?". "Oui et non. Depuis avril-mai, je crois. Mais c'est pas précis.""Oui, je comprends.". La pression qui avait envahie l'air s'évapore peu à peu. Elle retourne dans mes bras. Et on discute. Je la console. J'ai l'impression de me voir, d'avoir un enfant aussi. Elle est au moment où elle se rend compte qu'elle n'a pas le choix. Et la révolte intérieur, tout cela. Des moments, je la serre très fort, par ce que je sais à quel point c'est dur et à quel point il n'y a rien à faire. Je balance des phrases vides mais ca lui fait un peu de bien. Le temps passe. J'ai aucune idée de l'heure qu'il est. On parle aussi de ses parents, de ses amis. De ce sentiment d'être seule. De tout. Elle s'arrête peut à peu de pleurer. Aussi par ce qu'elle n'a plus de larmes. Je regarde l'heure. Il est 17h17. On fait un voeu et on s'interdit de le faire sur eux. Elle me dit qu'elle doit partir, par ce qu'elle a 5 appels en absence de sa mère et qu'elle devrait être rentrée et qu'en plus de cela, elle a séché un cours ce matin et qu'elle va surement se faire prendre un savon. Elle se lève. On se regarde. Ca m'a rappelé le mec de la librairie. Dans nos yeux, on se demandait ce qu'on faisait. Je sais pas. Je pense que c'était à elle de décider par ce qu'elle s'était beaucoup confié. A elle de choisir de faire cela une parenthèse ou autre chose. A sa place, j'aurais surement choisis la parenthèse. Elle a fait "Je m'appelle Mathilde et toi ?" "Julie" "Bon bah au revoir Julie." Elle tend la joue, on se fait la bise. Et elle s'en va. je la regarde s'éloigner. Le regard vide.

Je monte les marches de la médiathèque, enfin. J'emprunte quelques livres mais je n'ai plus le temps de m'arrêter bosser là bas. La philo la philo. Je vais dans des librairies et je rentre à la maison. Vivien, mon frère : "Alors ca a été ?". "Oui oui". "Tu as bien travaillé ?" "Oh, oui, beaucoup."


Mon week-end, il est étrange. Il y a le pot avec Lui et les amis. La soirée qui s'annonce trop mal et qui en fait se finit superbement. A deux, à discuter avec la copine de mon beau frère pendant des heures et des heures avec du vin blanc et des pâtes au saumon. Il y a le retour à la maison le lendemain. Mathilde, l'après midi. La soirée chez les filles le soir, les retrouvailles, les rencontres, l'alcool et le combo "Doors-clopes-alcool-refesagedemonde" en fin de soirée. Il y a ce matin décalé et la philo en plan. 

Je relirai cela plus tard.

Samedi 26 septembre 2009 à 19:30

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La rue, prendre une rue ; tordre une rue, pour soi.
Prendre un bout de nulle part pour en faire partout
La décision comme une fraction de rien
Tout repeindre pour tout revoir
Tout faire pour tout laisser faire
Se fondre
L’atmosphère a alors des odeurs de signes
Plonger dessus comme une invitation à la sauvagerie
Sauvage à tout, sauvage à toi. Sauvage.
Ne plus respecter rien, le chapeau noir de la dame vieille
Je le découpe en morceaux de plumes pour le cingler dans la tête
De l’homme à la chemise bleue
Et il rit et il rit
Et je souris, encore.
Si certains veulent jouer au miroir, c’est normal
Tu es encore aliéné.
Mais tu le seras, toujours.
Tu frapperas à la fenêtre jusqu’à ce qu’elle n’existe plus
Qu’importe.
Sur le banc de bois, il n’y a plus de bois
Mais toujours le secret de ceux qui s’arrêtent pour voir


Le temps me fuit et je passe une nouvelle fois en coup de vent. La folie.
Ps : je galère beaucoup beaucoup avec ma dissert de philo

Mardi 22 septembre 2009 à 19:42


Par ce que le temps, fuit, fou. Et le temps cherche, las. Qu'a-ton à faire sans toi? La fatigue, connerie. Cette fatigue, connerie. Le rythme avale avale. La pression monte. Pchiit. Pchiit. Pchiit. Un coeur à la peur. Pourquoi ? Avancer ? Aussi. Bien sur. L'envie de se plaindre monte à la gorge, de ces lignes remplies, de ces heures volées. Oui, volées. L'ennui, l'ennui qui s'immisce trop fort. Lutter lutter lutter. Par le soleil,  chercher le soleil. Le vertige prend quand à des grandes questions on ne sait pas répondre : qu'est ce qui est possible et qui pourrait me rendre heureuse maintenant ? Vide. Exclure le rêve par ce que c'est une drogue, laisser partir l'amour par ce qu'il est en sang, hélas, dernier repère. La bouffe. Oui mais c'est une forme d'oubli. Non,non,non ! Je ne veux pas oublier mais vivre. J'ai envie de hurler à (M.M) qu'il m'asphyxie de l'intérieur aussi. Et puis, je veux pas retourner au lycée, ils, ils ne m'interessent pas. Quelle est cette horreur d'attente que l'heure finisse ? Pourquoi j'en suis arrivée là ? A vouloir avancer le temps ? Et les devoirs qui voudraient aller empoisonner le reste : aller vous faire voir, je ne travaillerai que les cours qui me font interessant, avec bonne volonté et ceux qui me sont ABSOLUMENT primordiaux. Laissez moi vivre. Mes devoirs, les vrais, c'est apprendre à vivre. Aidez moi si vous voulez mais ce n'est pas avec vos copies doubles gribouillées dans l'urgence que vous faites quelques chose. Apprenez moi à vivre, je subsisterai toute seule. Ou pas. Mais on s'en fout. J'suis brillante oui ou merde ? AH AH AH ! Alors laissez moi ces conneries de BAC. Allez pas nous asphyxier avec cela, c'est juste ridicule.

Il faut : que je réapprenne les bonheurs sans l'amour et le rêve et l'oubli. Tordre le coup à cette dévalorisation & la honte : tout ce qui me tue tue tue. Tordre le coup à cette foutaise. Confiance, oui, prendre confiance, on est plus des gamines. RAYER RAYER ET RERAYER CELA. 

Et puis, douleur. Papa. Tu reviens en ce moment. La mort sur les gens, dans les rêves. Et toi qui vient, aussi, à la pensée. Oui. Papa.  Je t'aime tu sais. Tu me manques des fois, trop. Ca m'arrive pas souvent. Par ce que les choses sont comme elles sont et que je suis heureuse quand j'arrive à les dépasser. Dans mon corps, ya un bout de ton corps. Dans mon moi, ya un bout du tient. Des fois, ca suffit pas, c'est normal. Mais l'absence c'est fourbe. Ca vient vous chatouiller la douleur par surprise et jamais elle ne vous lache vraiment.

Sinon,

C'est l'anniversaire de mon blog =)

C'est drôle comme on s'y attache à cette page web. J'y rencontre des gens magiques (merci merci merci), j'y livre un bout de moi, je photographie les instants, j'essaye d'apprendre, j'essaye que cela soit beau, un peu, j'essaye que cela soi un fil, un vrai.

(et un mail !, tchou)

Mardi 15 septembre 2009 à 19:15


Game Over ?

Mardi 8 septembre 2009 à 20:40


"Avec tout le talent qui est le sien ..."

Dimanche 6 septembre 2009 à 1:04

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Non seulement j'ai sauvé mon fou. Mais je crois qu'il a avancé le sien. Ou peut être un pion. En tout cas, je suis heureuse. Il a accepté de continuer la partie.
(Le jeu de l'amour et du hasard)


Je suis toute ensoleillée, les yeux fermés. Tourne tourne tourne. J'écrabouille la peur de demain, des cours. Je plonge, encore encore encore dans le présent. Deux belles nouvelles.

Vendredi 4 septembre 2009 à 21:48

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Ca se brouille, fribrouille. Rentrée, en lettres capitales sur le coin d'un cahier. "Nouveau départ", griffonné au 3 septembre. Tout recommencer. Et là où il y avait un sursaut d'énergie à l'habitude, ne subsiste qu'un vague gout amer. Un réconfort dans cette classe, pourtant. Pourtant. Les nouvelles têtes se succèdent. " Bonjour je suis Mr machin". Je lui souris par ce que je suis bien. Je l’ai décidé. Mais il y a le gout amer. Le doute persistant. « Je n’y arriverai pas ». Je suis pas stupide même si je suis pas aussi intelligente qu’on le dit. J’ai envie d’hurler à ces "on" en question que je suis pas brillante et que moi je vais pas les emmerder avec une pseudo intelligence à remplir les copies doubles. En plus, j’ai un désagréable sentiment que j’vais foirer.  Que j’aurais mon bac mais que ca sera plus aussi simple, tout à la dernière minute. Tant mieux, au moins, je vais me taillader l’orgueil. Mais, j’ai pas envie de retourner dans ce manège à tuer la conscience. J’ai plus envie de me prendre la tête avec les notes.  Oui, et si j’échouais ? Devant ces feuilles, toujours ce doute. Ce doute de l’échec. Je sais pas pourquoi.  Peut être juste la peur. Ca passera. Cependant, faire de la littérature, écouter l'histoire (avec la voix superbe de ce prof inconnu), cela m'a fait du bien, vraiment. Ca m'avait manqué.

Sinon, tous ces profs m’ont l’air très bien. Mais ce n’est pas lui. J’ai beau le chercher des yeux. Et je le ressens juste comme quelque chose de profondément dégelasse. Des fois, certains laissent échapper des choses qu’il disait mais je suis surement la seule à le remarquer. Carpe Diem.

Ps : Coup de tête, épisode 2.   
Pris de risque. Echec ? Peut être vais-je perdre mon fou. Sauvez la dame.

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