Dimanche 22 septembre 2013 à 1:29

Au corps de la nuit, suspendue à son cercle infini, et à la porosité du temps.
Glissée au creux du soir,
A l’abri du jour, à l’abri du temps.
A l’abri du toujours, éclose à l’instant.
Je,
Foulée du chant sacrée du noir Paris.
Et de ces airs, et de ces airs.
La fraicheur unie des courses claires de la Tour
Volée par-dessus les doigts de la ville
Et mon cœur mouillé sur le pavé éclatant.
Elle est toujours là, la nuit.
Par Champi-Haine le Dimanche 22 septembre 2013 à 2:04
Rideau sur la scène illuminée d'étoiles. Un nouveau soleil pour demain. La même lune familière pour chaque rêve à venir de plus.

<3
Par Escape-Light le Vendredi 4 octobre 2013 à 21:52
Plongé en son coeur en cet instant même, ces lignes apaisent mon esprit taraudé par de nombreuses pensées tumultueuses.

La nuit marque un autre temps, un autre jour à venir, et des rêves encore mystérieux à découvrir
 

Chuchoter à l'oreille









Commentaire :








Votre adresse IP sera enregistrée pour des raisons de sécurité.
 

La discussion continue ailleurs...

Pour faire un rétrolien sur cet article :
http://imparfaiite.cowblog.fr/trackback/3251056

 

<< Présent | 1 | 2 | 3 | 4 | 5 | Passé >>

Créer un podcast