Mercredi 28 décembre 2011 à 14:12
Lundi 26 décembre 2011 à 17:25
Orgueil, viens me cueillir dans la gueule du pire,
Parée pour toujours, je souhaite à l'avenir
La présence voilée des charmes de ton être
Et la force qu'elle inspire, opium du prêtre.
Le manque trop éprouvé, même à rebours
Samedi 24 décembre 2011 à 15:48
Déguise moi. Femme des autres temps. Audrey Hepburn s'il en est.
Que veux-tu, pauvre chose ?
Que veux-tu, petite folle ?
"Pour une caresse combien de griffes?"
L'inspiration subie est une folle course, et mon amour erre sans avantages, calé parmi l'absence.
Mais je vais bien. Oui.
Joyeux Noël
Dimanche 18 décembre 2011 à 18:31
Quizás, soy la que vislumbra, que siente y va, en la imposibilidad de hacer, en la frustración del acto. ¿Voluntad débil o creación profunda? Bailamos sobre los límites del hecho, del ser y del poder. El deseo, del arte, del futuro o del hombre. Bailar, vacilar, y reír, pensado en el sentido que huye.
Regarde s'effondrer des ombles vénéneuses, le ciel est en avance, la vie est en retard,
de verts macchabées dansent au creux de sa mémoire.
Dans ses yeux où la mer se suicide en sari, brûle de arc-en-ciel de sexe et ecstasy,
et son regard s'habille à l'aube en robe noire, un ULM passe dans ses yeux, sans la voir.
(Babx)
(putain, j'ai perdu toute la fin de l'article).
Dimanche 18 décembre 2011 à 18:10
"C'est la mer noir qui s'est planquée dans les jupons de la statue de la liberté"
(Je reprends, parfois à écrire, mais j'essaye de m'affranchir du lieu. Tout est si difficile, de ne pas se jouer de soi. Et la période est dure. La mort à nouveau, s'est invitée dans ma vie. Quelle aille se faire foutre, et moi aussi.)
<< Présent