(La femme) : Elle arrache les herbes (le ventre) : dans un cycle
(La tombe) : le bas : Chartreuse, tu sais, ce qu’il nous reste à aimer. Chartreuse, j’ai peur qu’il ne reste rien à libérer. Le haut : Il pense.
(L’arbre) : Tu sens que ce n’est plus la fin. L’arrachée est tremblée dans son corps. Si froid, si ressenti de tout, alors qu’il n’est plus là. Galilée t’enchaine dans tes cellules immenses, immondes, c’est comme un charme. Elle répond oui à tout le monde pourvu qu’on lui accepte. Le point l’atteste de son infini. C’est quelque chose, dit-elle, c’est argenté et vécu. Elle le jure, elle l’arrache de ses yeux avec force. Par ce qu’il faut enterre les émotions hors de soi, c’est (d’)une vie.
Elle/Il avait un souffle qui n’arrêtait pas de mourir. Que veux-tu qu’elle écrive ? Que veux-tu qu’elle chante puisqu’elle crève du trop savoir alors qu’il n’est rien du néant central. Tous un peu de rien. Sur le gris encadré des notes. Et un nom. Quelque chose, qui ne respire pas. Elle surprend soudain la nuit, qui se voyait seule. Alors la nuit, nue, entend. « Je respirerai pour deux, tu vois. »
Le profil s’éloigne et il est avalé par la grille.
(Une étendue accrochée aux rebords des carreaux. Ces instincts emmurés l’arcasie d’une feuille, j’arrache. L’extra fracassante de la criblée crue rétractée haut et fort. C’était n’importe lequel. Tu iras sans un temps te souvenir du frôle. )
Le pire était pas la mort, c’était l’os décharné. C’était l’existence pourrie, avant de faire la terre. C’est la glaciale solitude du calcaire qui attend. Il faudrait l’écraser, je ne ai pas le force.
Je te désire surtout que je m’en enlève. Les mots sont déconstruits, ils veulent juste voir le bout, des souffles sirupeux de l’intérieur. Et s’approcher plus vite du rebord de la page, pour partir. L A I S S E Z M O I ..
Il lui demande d’EXPULSER la couleur avec des coups (grand trait) dommage.
C’est un substrat graphique. Il suffisait de s’en remplir jusqu’à l’ivresse le plus cassant, c’est que la soif ne se tait jamais. Elle demande pour vivre. On lui répond bien souvent par erreur , caché sous le nu du mal commun. Attend, je crois que je m’enferme.
C’est étrange, tout cela est flambe. Couru d’avance, artisté, attenté dans son corps.
Ce n’est cela la mort.
C’est ___________
Que je ne sais rien
Et pourtant je m’en sortilège à la vie. Si cela voulait (se) dire. J’arrêterais. Mais on ne plonge plus. (On pourrait toujours continuer)
(La tombe) : le bas : Chartreuse, tu sais, ce qu’il nous reste à aimer. Chartreuse, j’ai peur qu’il ne reste rien à libérer. Le haut : Il pense.
(L’arbre) : Tu sens que ce n’est plus la fin. L’arrachée est tremblée dans son corps. Si froid, si ressenti de tout, alors qu’il n’est plus là. Galilée t’enchaine dans tes cellules immenses, immondes, c’est comme un charme. Elle répond oui à tout le monde pourvu qu’on lui accepte. Le point l’atteste de son infini. C’est quelque chose, dit-elle, c’est argenté et vécu. Elle le jure, elle l’arrache de ses yeux avec force. Par ce qu’il faut enterre les émotions hors de soi, c’est (d’)une vie.
Elle/Il avait un souffle qui n’arrêtait pas de mourir. Que veux-tu qu’elle écrive ? Que veux-tu qu’elle chante puisqu’elle crève du trop savoir alors qu’il n’est rien du néant central. Tous un peu de rien. Sur le gris encadré des notes. Et un nom. Quelque chose, qui ne respire pas. Elle surprend soudain la nuit, qui se voyait seule. Alors la nuit, nue, entend. « Je respirerai pour deux, tu vois. »
Le profil s’éloigne et il est avalé par la grille.
(Une étendue accrochée aux rebords des carreaux. Ces instincts emmurés l’arcasie d’une feuille, j’arrache. L’extra fracassante de la criblée crue rétractée haut et fort. C’était n’importe lequel. Tu iras sans un temps te souvenir du frôle. )
Le pire était pas la mort, c’était l’os décharné. C’était l’existence pourrie, avant de faire la terre. C’est la glaciale solitude du calcaire qui attend. Il faudrait l’écraser, je ne ai pas le force.
Je te désire surtout que je m’en enlève. Les mots sont déconstruits, ils veulent juste voir le bout, des souffles sirupeux de l’intérieur. Et s’approcher plus vite du rebord de la page, pour partir. L A I S S E Z M O I ..
Il lui demande d’EXPULSER la couleur avec des coups (grand trait) dommage.
C’est un substrat graphique. Il suffisait de s’en remplir jusqu’à l’ivresse le plus cassant, c’est que la soif ne se tait jamais. Elle demande pour vivre. On lui répond bien souvent par erreur , caché sous le nu du mal commun. Attend, je crois que je m’enferme.
C’est étrange, tout cela est flambe. Couru d’avance, artisté, attenté dans son corps.
Ce n’est cela la mort.
C’est ___________
Que je ne sais rien
Et pourtant je m’en sortilège à la vie. Si cela voulait (se) dire. J’arrêterais. Mais on ne plonge plus. (On pourrait toujours continuer)
Il faut forcément déconstruire pour reconstruire... mais les pierres-mots restent, même si l'on se permet de les retailler, ces cailloux...