Réchauffée, polie et à l’avenant, le souffle est si fragile en moi que j’ai besoin de le caresser beaucoup de le nourrir et parfois même de l’oublier. Il est temps, maintenant, d’être au monde et de jaillir quelque part, quelque plus. Et vous ?
Lundi 15 octobre 2012 à 10:54
Chuchoter à l'oreille
La discussion continue ailleurs...
Pour faire un rétrolien sur cet article :
http://imparfaiite.cowblog.fr/trackback/3211268
<< Présent