imparfaiite

oh, oui. Vivre prend beaucoup de temps ! Je suis d'accord avec toi. C'est toi que tu crées, et c'est le plus important.

Vivre prend tellement de temps. Je m'apperçois que je ne viens sur mon blog que quand mon existence a un vide. Alors que le reste du temps, j'auaris tellement envie d'écrire ce que je vis, mais je ne trouve pas le temps, je préfere continuer encore.
Voici mon introduction pour entamer mon post ! Car oui, je viens aux nouvelles, nouvelles que je n'ai pas donné depuis tellement longtemps !
Comment vas-tu ? Comment se passent tes vacances ? Es-tu partie ? Ou, et combien de temps ? Te reposes-tu ? Il faut, il faut que tu profites, mais tu le sais déjà.
Comment vis-tu ton éloignement avec ton professeur ? (Mais si c'est un sujet dont tu ne veux pas parler, ou sur lequel tu n'as même rien à dire, je t'en prie, élude la question !).
Pour ma part, mon mois de juillet est passé sans que je puisse même le saisir ! Tout s'est passé très vite (trop ?). J'ai rencontré un garçon. Dans mon établissement depuis trois ans, et qui cottoyaient certains de mes amis, mais les choses faisaient que je n'avais jamais été aenée à lui parler. Et puis, ca s'est donc fait au début du mois de juillet, il y a eu comme une étincelle, ou quelque chose comme ça ? Enfin, en fait je n'en sais rien. Je suis avec lui. Ou pas. Je ne sais pas, on se voit quand on peut, quand il n'est pas avec l'autre, et quand je ne suis pas froncierement énervée contre lui. On se voit et dans ces moments lo on passe des après-midi et des soirées géniaux. On s'écrit, on s'échange, et on fait comme si on ne savait pas que je partais au début du mois de septembre à Lyon. Alors on suspend un peu le temps, et parfois quand un le réalise, il fait du mal à l'autre. C'est insignifiant. C'est pathétique. Et c'est indéfinissable. Je vis l'histoire sans même pouvoir me dire que c'en est une. Je me mets dans des états lamentables parfois parce que je réfléchis trop. Mais je ne peux pas cesser. Cette rencontre, je dois/veux la vivre jusqu'au bout. C'a le goût du désespoir, en fait. Mais, en somme, je crois que c'est toujours ce que je recherche dans une relation, alors est-ce que je peux vraiment m'en plaindre ? Il y a toujours tellement de fatalité dans mes rencontres, si je n'en voulais pas, je saurais faire autrement, j'imagine ... Des fois j'ai l'impression de subir ce que je suis.
Finalement, je peux assurer que je vais bien ! Je me découvre de plus en plus, je ne me comprends pas mais qu'importe, je le surprends et la vie serait ennuyeuse si ce n'était pas le cas.
Demain, je pars 15 jours en Espagne ! Après, j'ai la sensation que tout va aller très vite . On sera la rentrée, et je devrai quitter la maison, définitivement, car mes études se poursuivent dans une autre ville. C'est drôle, la vie !
Voilà, je ne sais que dire de plus ! J'attends, très sincerement, de tes nouvelles à toi, car j'y porte un grand intêret. Raconte moi ton été, ta fin d'année, ton année prochaine, tes émotions ...!
Tout !
Je t'embrasse.
J.