Il presse son front contre le précipice de la nuit
Elle joue en couleurs dans le brun de ses yeux
Ils rencontrent l'indifférence avec l'orgueil de l'envie
Quand l'indifférence est signe, elle explose, dans les cieux
Dans un millier de grandeurs dont le temps n'a que faire
Et que le passé couve comme une planète de terre
Et que l'avenir respecte avec le même chant,
Qu'il réserve aux étoiles, aux arbres et aux instants
Les autres ont peur et ils me courrent, fous
La pensée les rattrapent pour les rouer de coups
C'est ainsi qu'au printemps et que dans les autres saisons
On ne veut qu'aimer, par ce qu'aimer, c'est con.
Mardi 20 avril 2010 à 4:25
Murmures
Par Madness.of.Love le Mardi 20 avril 2010 à 11:27
J'aime.
Par Mardi 20 avril 2010 à 22:00
le J'aime énormément tes mots, et sur un fond aux couleurs de Prince et Princesse, c'est plus qu'agréable de te lire.
{ Je n'ai pas pu voir les deux premiers Miyazaki donc je n'ai pas vu Le Voyage de Chihiro... J'ai raté ma vie ? T_T Quoique je peux toujours me rattraper \o/ }
Bonne soirée ! ^^'
{ Je n'ai pas pu voir les deux premiers Miyazaki donc je n'ai pas vu Le Voyage de Chihiro... J'ai raté ma vie ? T_T Quoique je peux toujours me rattraper \o/ }
Bonne soirée ! ^^'
Par Mardi 20 avril 2010 à 22:22
le Ouaou. Celui là de texte il est particulièrement touchant. Pouf.
Par Vendredi 23 avril 2010 à 21:06
le Wahou. Qu'il soit écrit en vers, il cogne encore plus.
J'admire tes mots et tes mélodies, tu sais. Tes textes sont encore plus beau que dans mes souvenirs.
J'admire tes mots et tes mélodies, tu sais. Tes textes sont encore plus beau que dans mes souvenirs.
Chuchoter à l'oreille
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