Le rythme commence à s'accélerer. Les tonnes de bouquins à s'accumuler. Le rythme commence à s'accelerer. Les choses s'installent. Envolés dans le Pari de chaque seconde, la certitude perdue dans le milieu d'un voyage. L'avancement continu d'un caresse d'automne.
Paris. Ce matin en musique, je n'en avais pas écouté depuis longtemps. Je ne sais pas quand je vais oublier de regarder les choses avec mes yeux grands ouverts. Ce cadre qui m'impressionne toujours. La Sorbonne qui guette, au matin, dans la fraicheur, ou rayonnante le midi. Le Panthéon a côté et les belles rues. Les recoins calmes. Le charme. C'est encore magique. J'avais quelques minutes et quelques courses à faire. Le boulevard St Germain dans le regard du soleil, les livres. Je me sens bien. (Et j'ai enfin compris la fascination du monde pour Starbucks, c'est juste trop bon.) Le verre de papier dans la main, marcher.
Les cours sont éprouvant, intellectuellement. Mais tout cela est fou. C'est un autre monde. J'apprends tellement de choses et j'ai la perspective de tant d'horizons. J'ai l'impression de me baigner dans les lettres. Bien sûr, déjà l'anxiété d'être en retard, de ne pas assez en faire, de ne pas savoir travailler devant ces perspectives lointaines mais qui vont arriver vite. Le constat évident d'un manque de culture, quoique cela n'influe absolument pas sur mon moral, je suis là pour apprendre. Plus cela va, plus je sens que je suis en train de grandir et qu'on a beaucoup à m'apporter. Toute ces matières là sont à la fois un puits sans fonds et une perspective d'apprentissage juste génial.
Sinon, je rencontre des gens. Notamment notre charmante Madness.of.Love, toute sourire.
J'ai du mal à me souvenir de tout le monde, dans cette foule. Entre le foyer, les deux classes de 50 personnes.
Mon amoureux est encore tout à fait génial.
Je fais encore des rêves tellement étranges,qui m'impregent les jours suivants. Le substrat onirique coincé entre les paupière, glissé dans l'esprit. Des choses à comprendre. Des personnes de l'année dernière, des situations des plus étranges, des couleurs, des sensations.
Je poésie un peu dans le métro. Je n'ai pas beaucoup le temps. J'aimerais conserver cela, la poésie, écrite, lu, vu ou ressentie. Atmophériser au coin du coeur dans le brouillard venant des doutes et du rythme saccadé.
Je pose des mots.
Je philisophe l'instant.
J'aime et je manifeste.
L'entière satisfaction du calme grondant.
De l'absolu fuyant dans l'immuable chose.
Caressée et voulu, pénétrée dans la peau.
Paris. Ce matin en musique, je n'en avais pas écouté depuis longtemps. Je ne sais pas quand je vais oublier de regarder les choses avec mes yeux grands ouverts. Ce cadre qui m'impressionne toujours. La Sorbonne qui guette, au matin, dans la fraicheur, ou rayonnante le midi. Le Panthéon a côté et les belles rues. Les recoins calmes. Le charme. C'est encore magique. J'avais quelques minutes et quelques courses à faire. Le boulevard St Germain dans le regard du soleil, les livres. Je me sens bien. (Et j'ai enfin compris la fascination du monde pour Starbucks, c'est juste trop bon.) Le verre de papier dans la main, marcher.
Les cours sont éprouvant, intellectuellement. Mais tout cela est fou. C'est un autre monde. J'apprends tellement de choses et j'ai la perspective de tant d'horizons. J'ai l'impression de me baigner dans les lettres. Bien sûr, déjà l'anxiété d'être en retard, de ne pas assez en faire, de ne pas savoir travailler devant ces perspectives lointaines mais qui vont arriver vite. Le constat évident d'un manque de culture, quoique cela n'influe absolument pas sur mon moral, je suis là pour apprendre. Plus cela va, plus je sens que je suis en train de grandir et qu'on a beaucoup à m'apporter. Toute ces matières là sont à la fois un puits sans fonds et une perspective d'apprentissage juste génial.
Sinon, je rencontre des gens. Notamment notre charmante Madness.of.Love, toute sourire.
J'ai du mal à me souvenir de tout le monde, dans cette foule. Entre le foyer, les deux classes de 50 personnes.
Mon amoureux est encore tout à fait génial.
Je fais encore des rêves tellement étranges,qui m'impregent les jours suivants. Le substrat onirique coincé entre les paupière, glissé dans l'esprit. Des choses à comprendre. Des personnes de l'année dernière, des situations des plus étranges, des couleurs, des sensations.
Je poésie un peu dans le métro. Je n'ai pas beaucoup le temps. J'aimerais conserver cela, la poésie, écrite, lu, vu ou ressentie. Atmophériser au coin du coeur dans le brouillard venant des doutes et du rythme saccadé.
Je pose des mots.
Je philisophe l'instant.
J'aime et je manifeste.
L'entière satisfaction du calme grondant.
De l'absolu fuyant dans l'immuable chose.
Caressée et voulu, pénétrée dans la peau.
Oui, non. J'improvise. Folie folie folie.
Donnez moi de vos nouvelles.