imparfaiite

Wouah, un tel article, et un silence ? malgré les notes de vie kil apporte, les vibrations du coeur et les ondes de bonheur...? ah non je ne tolère pas sa ! cette article et si. Et puis, je suis un peu niaise ne m'en blame pas, je viens de saisir que ce mystérieux amoureux de l'atelier d'écriture(ce que je trouvait tellement poétik), n'est autre que ton prof (Oo honte a moi) et que l'atelier d'écriture que je croyait etre une activité extrascolaire est une heure de cours comme les autres...=) tu as bien de la chance, j'admire les gens qui analyse si vite leur états de coeurs pour pouvoir s'en détaché avant d'étre totalement détruit,moi je suis trop tétu pour me retiré avant ... =) je te souhaite du bonheur malgré tout, tu m'a l'air forte. si si.

Socrate pensait que l'amour entre maître et disciple est un axe essentiel de toute pédagogie. Comme il s'agissait à son époque uniquement de "garçons" élèves, on a pensé à la seule homosexualité ou pédérastie, mais je pense que Socrate voulait exprimer bien davantage...

Ton article est magnifique, poétique, et tellement triste.
L'amour, ça fait toujours mal.
Je te lisais, j'aimais ce que tu écrivais, même si je ne le ressentais pas, et là j'ai une révélation.
Alors, ce "il" est un professeur...

Je me sens tout chose. J'ai du mal à l'expliquer, je ne mets jamais de mots sur mes sentiments, je n'y arrive pas.
Loin de moi l'idée de juger ton histoire ou d'y placer une étiquette.
Mais j'ai quand même envie de pleurer en te lisant. C'est misérable de me dire qu'une histoire d'amour autre que la mienne peut me faire pleurer alors que je ne suis même pas capable de vivre la mienne correctement, de l'aimer comme je le devrais.

Je ne suis pas tombée amoureuse de mon professeur. Et pourtant, tout ce qu'il m'a apporté, les larmes qu'il a fait couler, larmes de bonheur souvent, larmes de surprise, de peine parfois, tout ce qu'il m'a appris, l'humanité, l'acceptation, relativiser, je ne l'oublierai pas. D'une certaine manière, je l'aime, mais c'est si différent de toi...
J'ai aimé le professeur avant d'aimer l'homme.

Pardonne-moi pour cette réaction, mais... tu as ébranlé quelque chose en moi.