Il y la force du vivant qui s'ébruite, le corps, charmé de sursauts, qui s'élancent, s'élancent, pour crier à l'absolu. Ses yeux courent le long de son dos et plonge dans ses seins. Le corps comme l'argile, modelé à l'instant, brise de ses courbes les éclats du temps. C'est. Ses yeux s'enfuient toujours et les mains les rejoignent. La danse infinie du présent absenté, dans la sensation folle de la contemplation incarnée, charmante et vivante. Quelque chose. Il y a l'élan de joie qui subjugue tout. En embrassant le monde entier. La dialectique entrouverte de l'union qui s'épanouit dans l'autre.
Je n'ai plus le temps d'écrire. Et je me sens mauvaise en mots.
Je n'ai plus le temps d'écrire. Et je me sens mauvaise en mots.
J'espère que ton concours blanc s'est bien passé ♥♥♥
Je t'ai aperçue l'autre jour, je n'ai pas osé t'arrêter ! ^^
Plein de bisous.