Mardi 25 mars 2014 à 20:42

Mon corps, comme si j'en découvrais l'étendue. 
Et que j'en sentais les rigueurs, ancrées profondément
Je respire pour libérer la tension de ces bleus invisibles
Je respire
(Répit)
Dans la tumulte de mon propre esprit
(Répit)
Dans l'amoncellement des doutes

Et je sens le sésame.

Par MavangElle le Jeudi 27 mars 2014 à 1:20
J'aime cette image des bleus invisibles, comme des noeuds de corde cachés sous la peau, qui tendent et serrent, douloureux.
Ta dernière phrase réveille sous ma langue mon obsession du sésame et de son huile. Gourmandise.
 

Chuchoter à l'oreille









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