Là aussi, je dépose des notes sur la pression de l'instant. Il faut noter ses bonheurs par ce qu'ils échappent plus facilement aux mots tordus habituels. Oh, j'ai passé un bon beau bien week end, mieux que cela. Mon anniversaire, en famille, à 4. Les roses. Le samedi avec vous tous, ces soirées qui me font tellement de bien. Et puis Lui. Toujours. (De tout mon cœur tu écris et moi je vis. )
(J'ai retrouvé des bouts de textes écrits sous l'alcool, c'est drôle. C'est du "moi tout cliché'.
Rouge de ma robe,
Passionnée de vous,
Enrobée de manque,
Fortifiée des abrutissements monotones, parvis entêté des églises de soi.
Enfin, il y a plein des comme cela)
Vous savez, c'est étrange la certitude. La certitude détachée de tout réel, qui se vit très fort mais qui n'a aucune attache, aucune raison d'être. Mais elle rayonne. L'incertitude est familière, c'est presque un mo(n)de de vie. La certitude, normalement, pour survivre à son antithèse doit se prouver. C'est là que souvent elle échoue. La vérité au placard. Mais que faire des certitudes qui passe, la tête haute et snobe le doute avec la plus grande grace. Elle exclue le réel d'un geste de main, madonne. Elle n'a pas besoin de lui, même si elle en parle. Elle est l'intuition poussée au vif. Elle est.
Samedi soir, je le savais. Je l'avais même écrit. J'avais raison, sans raison.
rouge est mon sommeil
d'un rouge vermeil
rouge est mon sommeil amour
J'aime ça. =)
J'aime ton beau WE, j'aime ceux qui te rendent heureuse.
Oui, la certitude c'est étrange. Je vis bien plus avec l'incertitude, c'est mon second souffle. Sauf lorsque je choisis la déception. Pas de retour possible...
Je t'embrasse ! <3