Enfin. Enfin je respire un peu. Je suis en vacances depuis déjà cinq jours mais je commence juste me détendre vraiment. De me rendre compte que je peux - enfin - relâcher la pression, que mon corps recommence à entrevoir la possibilité de faire de vraies nuits, que je ne ressasse pas dans ma tête des conneries. Quand même, en passant les deux ENS, ça m'a fait quarante-deux heures d'épreuves, plus, le lendemain de tout cela, un oral pour Sciences Po Paris (qui ne s'est pas bien passé d'ailleurs, et c'est peut être cela que je ressasse le plus). Tout cela sur plus d'une semaine et demi. Tellement de pression, tellement de.
Je fais de la cuisine,
Je bois du thé avec ma mère,
Je vois des amis,
Je revis, peut être bien.
Mais je sens, en suspens, au-delà des frustrations, les questions qui me tauraudent, les doutes.
Chaque chose en son temps.
Chaque.
Et l'imagination ? Et les coups. Et les espoirs. Et les peurs. Et mon envie de vie.
Et encore une fois, encore une valse. Et l'amour de l'art. Et les amis, et les autres, qui croient, et qui pensent.
Mon chemin est entré, dans les sursauts des jours.
L'atonie avalée et les tremblements, toujours.
Je fais de la cuisine,
Je bois du thé avec ma mère,
Je vois des amis,
Je revis, peut être bien.
Mais je sens, en suspens, au-delà des frustrations, les questions qui me tauraudent, les doutes.
Chaque chose en son temps.
Chaque.
Et l'imagination ? Et les coups. Et les espoirs. Et les peurs. Et mon envie de vie.
Et encore une fois, encore une valse. Et l'amour de l'art. Et les amis, et les autres, qui croient, et qui pensent.
Mon chemin est entré, dans les sursauts des jours.
L'atonie avalée et les tremblements, toujours.
Comme tu dis : Chaque chose en son temps.
Il est venu le temps des vacances. :)
Bises. ♥