L'or des vents jaillissant au coeur de ton visage,
couvre les plaies violentes des imprécations subies.
La peau sillonne ses propres gouffres,
Et parait comme une portée où je me perds
en mélodies, en substance, en langueur
Et tes rides m'accueillent, et je tremble.
Je voudrais les obtenir. Je voudrais les embrasser.
Je voudrais.
Pliures brisées, plis du temps.
Mon visage lisse se nourrit de la vie qui creuse et habite le tien
Mon visage désire l'expérience du vide.
Joies et peurs, abimes fous
L'infamie volontaire et le désir à mort.
Prends moi enfin, et je m'en vais.
Et tu m'appelles.
Vois-tu combien Vois-tu comment ?
Laisse moi pourquoi, laisse moi
Ou prenons-nous
Ou parlons nous entier
Entités
Attentions
Et tableaux
Comme des galeries, comme des chants
Comme des avenues, comme des rivières
Comme des traces fantastiques et fascinantes
Ta vie à même la peau
Mon esprit malmené
Et les espoirs
Mardi 27 novembre 2012 à 18:09
Murmures
Par MarquiSe le Mardi 4 décembre 2012 à 21:30
Merci...
Par Mercredi 12 décembre 2012 à 10:42
le Espérons que ce soit le meilleur concours, alors :)
(Pas de tagboard ?)
Bonne journée ! ^^
(Pas de tagboard ?)
Bonne journée ! ^^
Chuchoter à l'oreille
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