J'ai les paupières brulantes, les pensées arrachées, le souffle humide et la fatigue tremblante. J'ai le bonheur en éventail, la douleur en filet, la douceur en espoir. J'ai tes mains dans les yeux, ton corps dessiné entre les livres, le sien qui se rapproche. Et les libertins qui se tuent. J'ai les symboles en cascades, la réalité en morceaux, le corps en folie.
Les souvenirs en plume, les rêves en torture exaltante, magnifique. Mais j'aime mes instants, avec eux tous. Malgré les jours froissés, malgré les doutes. Ne m'arrêtez pas. Ne m'arrêtez plus. Je veux un horizon à voir. (Dis, on se parlera, on se réécrira ?)
Les souvenirs en plume, les rêves en torture exaltante, magnifique. Mais j'aime mes instants, avec eux tous. Malgré les jours froissés, malgré les doutes. Ne m'arrêtez pas. Ne m'arrêtez plus. Je veux un horizon à voir. (Dis, on se parlera, on se réécrira ?)