Un jour je t'aimerai moins, jusqu'au jour où je ne t'aimerai plus. Il faut que je trouve un poème, pour tes beaux yeux. Idiot. Qu'est ce que je peux être attachée à toi. Cela me dépasses, tu me dépasses. Des fois, j'en ai vraiment marre. Je me sens trop faible. Trop. Stupide. Que choisir ? Il y a "Première soirée" que je te lirais en pétillant de bonheur et de malice tremblante, je le sens mais ... je ne sais pas. Il y a l'autre. Celui où, après lu deux vers, tu t'es tourné vers moi, tu as plongé tes yeux dans les miens. J'ai fermé le poing qui était posé sur mes genoux, mon coeur qui battait trop. "Tu sais ... les poèmes qui collent à la peau" tu as dis. Je t'ai souris. J'ai détourné la tête. J'ai retrouvé ce poème. Oui, il est beau. J'aimerais bien prendre celui là mais je ne veux pas que tu te souviennes. Sinon, tu risques de comprendre, je ne le veux pas. Il faudrait que je me détache. Plus tard, quand je pourrais.Petit con, cela me tue de le dire, mais ... je suis probablement amoureuse de toi.
Lundi 23 mars 2009 à 22:22
Un jour je t'aimerai moins, jusqu'au jour où je ne t'aimerai plus. Il faut que je trouve un poème, pour tes beaux yeux. Idiot. Qu'est ce que je peux être attachée à toi. Cela me dépasses, tu me dépasses. Des fois, j'en ai vraiment marre. Je me sens trop faible. Trop. Stupide. Que choisir ? Il y a "Première soirée" que je te lirais en pétillant de bonheur et de malice tremblante, je le sens mais ... je ne sais pas. Il y a l'autre. Celui où, après lu deux vers, tu t'es tourné vers moi, tu as plongé tes yeux dans les miens. J'ai fermé le poing qui était posé sur mes genoux, mon coeur qui battait trop. "Tu sais ... les poèmes qui collent à la peau" tu as dis. Je t'ai souris. J'ai détourné la tête. J'ai retrouvé ce poème. Oui, il est beau. J'aimerais bien prendre celui là mais je ne veux pas que tu te souviennes. Sinon, tu risques de comprendre, je ne le veux pas. Il faudrait que je me détache. Plus tard, quand je pourrais.Petit con, cela me tue de le dire, mais ... je suis probablement amoureuse de toi.
Murmures
Par Satine le Mardi 24 mars 2009 à 8:50
Waouh... <3
Par Mardi 24 mars 2009 à 19:55
le quel joli texte... bien trouvé :)
Par Lundi 1er juin 2009 à 20:48
le L'amour, c'est atroce, n'est-ce pas ? On s'en veut tellement, après. C'est un peu comme la cigarette. Le temps d'une jeunesse, c'est insouciant et puis ... tout part en fumée, on se ronge de l'intérieur, ça fait mal. Cancer. On se consume soi-même, mais c'est trop tard. On sait que ça ne partira plus vraiment, cette dépendance. On se sent fractionné, découpé en petit morceaux de puzzle, et il manque la pièce centrale. Mais on s'en fout, l'amour c'est comme les cigarettes, on a beau dire que c'est la dernière fois, il y en aura tellement d'autre après. J'ai essayé d'arrêter. Je n'y arrive pas. On ne peut pas arrêter d'aimer, je crois...
Chuchoter à l'oreille
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