Marcher sur le bord des pavés, la pluie qui glisse sur le visage. Fermer les yeux, sentir l'eau qui tombe doucement. La musique dans le creux de l'oreille. Mélodie qui résonne au delà du délit des mots qu'on fredonne. Ce secret, je te le donne, ne le dis à personne. Sourire puis, être frappée par une douleur soudaine, qui passe... Sourire de nouveau à la pensée d'un instant... mais : nouveau coup. Qui part plus lentement. cette fois Secouer la tête frénétiquement pour chasser les pensées négatives. Continuer à marcher. Se laisser porter, enfin. Mais, ressentir cette douleur,t apie en soi qui se réveille. Se fermer l'esprit. Laisser le flux d'émotion aller et venir. Ce flux d'émotion si puissant, si fort. "Mais bon sang ? Qu'est ce qui m'arrive?". Les jambes qui tremblent, mais, continuer à marcher, en rythme, toujours en rythme. Je me met à murmurer. Sans presque bouger les lèvres. Penser à Lui. Le coeur qui n'en peux plus. Le flot de sentiments s'intensifie. Je découvre. Je découvre des choses dont je ne me croyais pas capable. Le mot amour apparait en lettres capitales, noires. J'en ai peur. Il me fait peur. "Je l'aime". Oui, je le sais. Je l'aime. La sensation du manque,me dévore présent. Ressentir, en soi, des choses stupides, des phrases stéréotypées qui, là résonnent justes, mais que l'on refuse. Non. Non. Pas moi.
Je suis accro. Je suis folle amoureuse. Je ne veux pas. Mais, je sais aussi que je ne peux pas lutter. Je soupire. Tout cela me parait trop. Trop fort pour pouvoir tirer un trait dessus, comme cela. Je ne sais plus quoi faire. J'ai décidément perdu l'équilibre. Après la semaine dernière, je savais que je basculerais de l'autre côté, celui de l'amour mais, jamais, je n'aurais cru à ce point. Je veux le voir tout les jours, tout le temps, indéfiniment. J'ai ce besoin de lui. Besoin. Oui, merde, besoin. Besoin de le voir, qu'il me parle qu'il me sourit. Cette journée entière, à côté de lui. Tout le temps. C'était magique. Je ressentais cet amour, ce désir mais, sa seule présence m'apaisait. Je priais pour qu'il y ait des bouchons, des kilomètres de bouchons et qu'ainsi je demeure avec lui tout le temps. Que cette journée en dure des milliers. Car, même si j'ai été stupide, que j'ai décidément trop parlé et qu'il s'en fout de ma pauvre tête de cloche. Je m'en fous. Mon intériorité me hurle d'aller vers lui. A tout prix. L'idée de ne plus jamais passer de journées entières, comme cela , avec lui me fend le coeur. Et je me fais à la fois pitié et peur. Pitié devant cet infinie faiblesse, devant cette infinie inconscience et peur devant cette puissance. cette puissance que ne croyais pas possible, qui est juste là, en moi. Que je croyais imaginées pour les les livres, les histoires, les films. Non. Seulement moi, c'est un amour totalement impossible auquel j'ai la stupidité de croire. Même si je sais que je fonce dans le mur, même si je sais qu'il n'en a rien à faire, même si je sais que c'est idiot. Je l'aime. Ca me tue mais je l'aime. Je n'ai pas la force, la volonté de lutter même si je devrais. Je pleure mais je l'aime. Mon premier amour.
Je suis accro. Je suis folle amoureuse. Je ne veux pas. Mais, je sais aussi que je ne peux pas lutter. Je soupire. Tout cela me parait trop. Trop fort pour pouvoir tirer un trait dessus, comme cela. Je ne sais plus quoi faire. J'ai décidément perdu l'équilibre. Après la semaine dernière, je savais que je basculerais de l'autre côté, celui de l'amour mais, jamais, je n'aurais cru à ce point. Je veux le voir tout les jours, tout le temps, indéfiniment. J'ai ce besoin de lui. Besoin. Oui, merde, besoin. Besoin de le voir, qu'il me parle qu'il me sourit. Cette journée entière, à côté de lui. Tout le temps. C'était magique. Je ressentais cet amour, ce désir mais, sa seule présence m'apaisait. Je priais pour qu'il y ait des bouchons, des kilomètres de bouchons et qu'ainsi je demeure avec lui tout le temps. Que cette journée en dure des milliers. Car, même si j'ai été stupide, que j'ai décidément trop parlé et qu'il s'en fout de ma pauvre tête de cloche. Je m'en fous. Mon intériorité me hurle d'aller vers lui. A tout prix. L'idée de ne plus jamais passer de journées entières, comme cela , avec lui me fend le coeur. Et je me fais à la fois pitié et peur. Pitié devant cet infinie faiblesse, devant cette infinie inconscience et peur devant cette puissance. cette puissance que ne croyais pas possible, qui est juste là, en moi. Que je croyais imaginées pour les les livres, les histoires, les films. Non. Seulement moi, c'est un amour totalement impossible auquel j'ai la stupidité de croire. Même si je sais que je fonce dans le mur, même si je sais qu'il n'en a rien à faire, même si je sais que c'est idiot. Je l'aime. Ca me tue mais je l'aime. Je n'ai pas la force, la volonté de lutter même si je devrais. Je pleure mais je l'aime. Mon premier amour.
Les visites s'accumulent : 20,30,40,50. Mais je ne vois que les fantômes de ces gens sur mon minuscule diagramme de statistique. Personne ne s'arrête réellement. Tant pis. Ce n'est pas bien grave.