Douce moi la peau dans les brisures de maintenant
Couvre les d'étoles de tes rêves, amour
Et laisse les souvenirs tisser les pansements du temps
Profusions de soie en soi, en moi dans le toi qui m'abrite
Laisse moi m'habiller de l'espoir qui me lie à toi.
Je me dénuderai aux vents des solitudes blanchies
Fais confiance aux choses, les corps comprennent
Ne t'inquiète pas.
Tes cheveux dans mes mains, je te le répète.
Je savais que tu m'attendais.
Je danse le long de nos peurs avec le même pied vacillant
De tes vingt ans, celui qui marchait de crainte devant le futur
Et l'amour.
Il me faudrait un peu (plus) de temps, pour venir déposer les étoiles et les bouts d'ordures, pourtant. Je vais bien.
Bises campagnardes et non nancéennes