La rue, prendre une rue ; tordre une rue, pour soi.
Prendre un bout de nulle part pour en faire partout
La décision comme une fraction de rien
Tout repeindre pour tout revoir
Tout faire pour tout laisser faire
Se fondre
L’atmosphère a alors des odeurs de signes
Plonger dessus comme une invitation à la sauvagerie
Sauvage à tout, sauvage à toi. Sauvage.
Ne plus respecter rien, le chapeau noir de la dame vieille
Je le découpe en morceaux de plumes pour le cingler dans la tête
De l’homme à la chemise bleue
Et il rit et il rit
Et je souris, encore.
Si certains veulent jouer au miroir, c’est normal
Tu es encore aliéné.
Mais tu le seras, toujours.
Tu frapperas à la fenêtre jusqu’à ce qu’elle n’existe plus
Qu’importe.
Sur le banc de bois, il n’y a plus de bois
Mais toujours le secret de ceux qui s’arrêtent pour voir
Le temps me fuit et je passe une nouvelle fois en coup de vent. La folie.
Ps : je galère beaucoup beaucoup avec ma dissert de philo