L’air respire l’été. Et c’est beau. Les fenêtres ouvertes apportent leur lot d’extérieur. Le soleil se glisse par la porte. C’est une atmosphère. Et surtout une odeur. J’entrouvre mes paupières de temps en temps.
Le soir respire le jour tardif. Le soleil se plonge si doucement dans la nuit. Les arbres, l’Erdre, la musique des bars, le murmure de l’eau silencieuse. L’air caressant, le souffle pur. Bonheurs.
J’écoute les musiques d’été de l’année passée et leur chant me déshabille le cœur. C’est insinué et violent. Progressif. La première entaille est décisive et le reste passe. Ce n’est pas douloureux ni heureux, c’est différent. Mon corps bat, appelle le soleil et l’envol. Mon corps se bat. Et je ne pense plus. Ou presque. « I wake up, and the day feels broken … ». Les fleuves de temps qui coulent, chargés de sourires. « Anyway, It’s not up to you ». Il y a un poigne mais, s’en dégage, peut être, au loin, une sérénité.
El aire del sol, corriendo por mi cuerpo cansado de pensar. El aire, de tu, de el y de los otros quien salen. El aire te dice todavía, ¿ cómo es posible? Escucha, el fin ya es aquí. Tengo miedo. Estoy serena. Tengo miedo. Pero, yo creo. "Aurora"
Les musiques m'apportent les mélodies d'hier. Et on sent à quel point on se souvient toujours. Les sons ne sont que des lumières sur ce qui vit déjà, là, intacte, déboussolé mais là. "Je sais, que je ne ferais pas la traversée."
Le soir respire le jour tardif. Le soleil se plonge si doucement dans la nuit. Les arbres, l’Erdre, la musique des bars, le murmure de l’eau silencieuse. L’air caressant, le souffle pur. Bonheurs.
J’écoute les musiques d’été de l’année passée et leur chant me déshabille le cœur. C’est insinué et violent. Progressif. La première entaille est décisive et le reste passe. Ce n’est pas douloureux ni heureux, c’est différent. Mon corps bat, appelle le soleil et l’envol. Mon corps se bat. Et je ne pense plus. Ou presque. « I wake up, and the day feels broken … ». Les fleuves de temps qui coulent, chargés de sourires. « Anyway, It’s not up to you ». Il y a un poigne mais, s’en dégage, peut être, au loin, une sérénité.
El aire del sol, corriendo por mi cuerpo cansado de pensar. El aire, de tu, de el y de los otros quien salen. El aire te dice todavía, ¿ cómo es posible? Escucha, el fin ya es aquí. Tengo miedo. Estoy serena. Tengo miedo. Pero, yo creo. "Aurora"
Les musiques m'apportent les mélodies d'hier. Et on sent à quel point on se souvient toujours. Les sons ne sont que des lumières sur ce qui vit déjà, là, intacte, déboussolé mais là. "Je sais, que je ne ferais pas la traversée."