J'aime j'aime j'aime les Miyazaki.
Puisqu'on est tous les semblabes, à se perdre dans la douleur. Et la vie. Et la vie qui nous chante en nous fracassant du même coup. Les fantômes de la nuits berçent le temps, ralenti. Les heures viennent au ponton du noir mais ne tombent jamais dans l'eau de l'aurore, tu vois. La nuit nous protège du lendemain. Et les gens s'y perdent quand ils étouffent de peur, souvent .Quand leurs poumons crachent le sang du passé et que l'espoir ne suffit plus. Quand l'air est chargé d'un réel encouverclé de tout, peins en gris par les désilludions entières, d'un monde d'hommes fous.
J'aime, pourtant. Le gris dévalé de cet immeuble à suicidaires, le ravissement dérisoire du désir, la beauté absurde perdu en infinité dans la finitude constante. J'inspire les minutes scintillantes.
Et la douleur revient et reviendra. Graver jusqu'au fond des os le noir aux prétentions de vérité. Mais quelles certitudes aurions-nous à lui apposer ?
La musique, l'amour, l'art.
Et tant de fragilités sublimes.
Et la fuite qui tente.
Je trace les contours des avenirs, sans le bruissement des dras, le jour s'endort en rêve.
Puisqu'on est tous les semblabes, à se perdre dans la douleur. Et la vie. Et la vie qui nous chante en nous fracassant du même coup. Les fantômes de la nuits berçent le temps, ralenti. Les heures viennent au ponton du noir mais ne tombent jamais dans l'eau de l'aurore, tu vois. La nuit nous protège du lendemain. Et les gens s'y perdent quand ils étouffent de peur, souvent .Quand leurs poumons crachent le sang du passé et que l'espoir ne suffit plus. Quand l'air est chargé d'un réel encouverclé de tout, peins en gris par les désilludions entières, d'un monde d'hommes fous.
J'aime, pourtant. Le gris dévalé de cet immeuble à suicidaires, le ravissement dérisoire du désir, la beauté absurde perdu en infinité dans la finitude constante. J'inspire les minutes scintillantes.
Et la douleur revient et reviendra. Graver jusqu'au fond des os le noir aux prétentions de vérité. Mais quelles certitudes aurions-nous à lui apposer ?
La musique, l'amour, l'art.
Et tant de fragilités sublimes.
Et la fuite qui tente.
Je trace les contours des avenirs, sans le bruissement des dras, le jour s'endort en rêve.
Et ca hurle de l'intérieur.
Chut, tu vas encore parler de lui. Ou des autres. Ou de l'avenir.
Tu vas penser, que tu n'y arriveras pas. La fumée temporée du feu qui t'anime porte les odeurs de peurs, terrifiantes et incessante, trop vraies pour êtres vaines. Trop ancrées pour repartir en mers.
Ne court pas trop vite, dans tes propres toiles, ni dans les murs de vie et les limites absurdes. Cela fait toujours mal.
Chut, tu vas encore parler de lui. Ou des autres. Ou de l'avenir.
Tu vas penser, que tu n'y arriveras pas. La fumée temporée du feu qui t'anime porte les odeurs de peurs, terrifiantes et incessante, trop vraies pour êtres vaines. Trop ancrées pour repartir en mers.
Ne court pas trop vite, dans tes propres toiles, ni dans les murs de vie et les limites absurdes. Cela fait toujours mal.