Il y avait une sérénité dans ta paume,
Repartons au large
Je n'avais pas vu ta joie depuis longtemps
Où étais-tu passé ?
Je ne me souviens plus.
Oyasumi nasai
Te reverrais-je un jour ?
Je n'ai décris, comme cette lune qui un jour nous tend
Je n'ai pas pu te le dire
Je n'ai pas regardé en mer, j'étais là.
Tu n'étais qu'une vague
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La pluie tombait toujours, et l'odeur humide des allées couraient au temps perdu. La pluie tombait enfin, et je me sentais mieux. A côté de ton ombre, les miettes éparpillées de richesse dont je ne voyais plus l'ardeur. La pluie criblait le sol et donnait à ce moment une intensité tout à propos, réfletait sur le gris terne de la chaussée des couleurs de bleu.Je murmurai des inepties incantatoires, et tu n'étais plus qu'une esquisse avalée par le jour.Quand je marchais à ce bord, il y avait la musique, en murmurant ce que je ne pouvais réellement formuler, quand j'aurais voulu danser mais que j'étais bien trop vraie, je ne croyais pas que c'était possible. C'était alors un gardien, gardien des mots venu en paix, rejeté souvent. C'était une main tendue et une forme fructueuse d'espoir.
« Il faut avoir du chaos en soi pour pouvoir enfanter une étoile qui danse » Nietzsche
« Il faut avoir du chaos en soi pour pouvoir enfanter une étoile qui danse » Nietzsche
Je suis contente de voir que je ne suis pas la seule à aimer le ballet du silence qui éclate en milliers d'étoiles à minuit :) Le lendemain matin, tout a décanté et tombe en pluie douce et sereine.