De tout cela il faudrait, encore, tracer les contours.
Rejeter les échos de l'incohérence, de l'incomplétude.
Je ne sais pas parler, dit-elle.
Je sais pourtant réarranger.
Et cette question: qu'est-ce qui vaut la peine d'être lu ?
Ou encore, ai-je envie de porter cela public ?
Dans l'abandon lent et progressif de cette plateforme,
Il y a eu le retour à un journal presque intime.
Où je murmure les pensées, où quelque chose se libère.
Je lis avec admiration les personnes qui agencent les mots,
Comme autant d'envols.
Les voix en moi pépillent et glissent.
Et si c'est pour moi, je crée encore ?
Voudrais-je à nouveau être regardée?
J'ai engardé l'équilibre d'être ici et d'être chez moi,
Comme une porte entrouverte, au fond d'un endroit très perdu,
Où passent seulement encore, les gens qui ont connus le chemin.
Et puis,