L'anarchisme fondamental des début des origines d'un nouvel ère. J'ai des images qui défilent dans le plus profond de mon corps. La joie dissolue dans les parcelles, c'est fou. Les images défilent. Et vivent. Un jour, j'écrirai, peut être. J'ai un crayon à dessiner avec des mots mais pas à raconter, peut être. Je voulais juste poser sur cette page à quel point tout était intense. Chaque miette de simplicité devient bonheur et en cela transcendance élémentaire. Chaque bribe de complexité entraine une certaine beauté. Et le reste, j'oublie. J'oublie. Le soleil fait fondre la peau, vivement ce soir qu'il fasse juste doux comme il faut.Je suis un peu perdue quand je pense. Mais d'ici là, j'ai deux mois à jouir. Que cela soit de la plus pure simplicité ou de l'arraché qui me ronge toujours, de la lutte irréversible contre la gangrène intérieure. On trouvera. Les yeux dans un miroir à l'autre, plongé dans ce reflet de lui et moi, si près si près. Dans les yeux de celui qui, lui, ose vous regarder. Même dans les yeux qui vous fuient. On trouvera,dans la puissance des corps, le charnel inspirera, l'essence même des renouveaux peuplé de l'intellect en crise.
Hier, était le dernier jour de l'atelier d'écriture. Là aussi, profondément heureux dans l'absolu d'une tristesse sans fond. Enfin, il y a le tremplin de l'espoir qui assure qu'il n'y avait là aucun réel adieu. C'est le point final de quelque chose d'absolument intense,sublime, serais-je tentée de dire. Il ya les mots et les valses en poésie,bien sur. Il y a les autres plumes confrontrées, les écrits les ratures et les individualités. Il y a cette vague qui nous a tous pris entier, ce vent soufflé dans les profondeurs de la virgule. Il y a l'amour de chacun pour chacun. Il y a une propre directivité de soi à soi. Il y a l'intensité physique, que les larmes chantent doucement, que les rires exultent et que le silence couve. Il y a les mots déliés qui glissent enfin des bouches. L'intensité insoutenablement soutenable d'un instantané soutenu en sussurant le sens aux aguets. La force.
Bien entendu, il y avait lui.
Cela va de soi.
Cela va de soie.
Cela glisse en soi dans la soie infini du souvenir brutal et doux, chassé et adoré, glissant et coupant. C'est la contradiction par excellence,la dialectique capturée en image. Je respire un peu plus fort. Toujours. Chut. "Je t'aime toujours,amour". Peut être, qu'il faudrait avouer à la page inquisitrice que l'acceptation et la résolution totale de cette confrontation où la réalité devrait mettre le dernier coup de couteau dans l'onirisme stigmatisé en mots, réel instantané, souvenirs déchus depuis des mois, est du à ces fragments de rien qu'on accroche toujours au fond de son coeur quand on n'accepte pas le rien, l'echec, la réalité présente. "l'espoir", ou le regard. Je te fixe dans le miroir, juste à côté, les minutes s'enchantent. Puis, mon regard distingue autre chose, sur le côté. Tu en profites pour glisser tes yeux sur le miroir. Qu'est ce que ce sourire. Il y a juste nous-deux dans ce miroir, de profils. Les minutes s'allongent et complotent. Tu me regardes, je n'arrive jamais à le soutenir longtemps. Je sourie. Comme toujours, comme avant et peut être comme jamais. Sur mon marque page du recueil, tu m'as cité "mais il n'avait rien dit". Cette phrase sortie du texte qui disait : Il se soûle au désir de leur corps qui ne se trouveront plus, aux sourires grandis de chaque matin ensemble, où elle était belle mais il n’avait rien dit. Que dois-je entendre moncoeur ? Et quand tu me regardes et que tu me souries, avec cette bouche si mystérieuse qui veut signifier, mais se dérobe, pourtant , à dire ? Et quand tes yeux s'emplissent de larmes pendant que je lis (des textes qui parlent de toi) ? Et de ce que tu n'as rien osé réellement écrire dans mon recueil. Juste un sourire en 3 et une signature. Et les autres larmes quand tu as lu ce que j'avais gribouillé sur ton carnet à toi ? "[...] J'aurais surement beaucoup de chose à vous dire ...... Merci, à l'un des hommes les plus importants de mon existence en pointillées, alongée [...]" Et les souffles dirigées sur ta peau, dans le desespoir d'un au revoir, tout au long de la séance, tu les sentais ?
Et ce pathétisme enclavé dans ce cadre de pixel qui s'amoncelle. Ne-plus-se-juger-Ne-plus-se-juger-Ne-plus-se-juger. Et ne pas penser à quel point j'ai pu être ridicule.
J'avais dit que j'arrêterais.
En octobre l'année dernière.
Et puis, l'été dernier.
Et puis, au début de cette année.
Et puis, à la fin de cette année.
J'avais dit j'avais dit et je suis prête à relancer les dés. Encore. Encore. Encore.
Il suffit d'un soupir, d'une lucidité soudaine pour avouer l'incohérence,l'absurdité totale d'un amour malade, dans le sens où il est vide d'échange concrèe, qu'il se vit dans l'attente, l'appréhension, la douleur, où, le bonheur est passionnel, même égrainé dans un immense. Mais. C'est une connerie. Je m'en rend compte tout les jours depuis plus d'un an et demi. Il y a une avancée, sensible et évidente, par vagues et alanguie. Il y a toujours le soleil de soi en l'autre qui continue de briller quand bien même il n'existerait qu'en poussière. Ces poussières.
"Je suis inquiet pour toi Julie, tu avais dit que tu arrêterais" Mais j'arrête, j'arrête. Enfin. Juste un coup. Encore. Ma reine est pas encore sacrifiée. J'ai balancé le reste au fur et à mesure. Et des pièces me reviennent vivantes. Il faudrait finir la partie. J'ai abandonné une partie du jeu, je consens à le faire, avec difficulté, avec le temps et les autres, peu à peu. Mais je n'arrive pas à provoquer la fin de cette partie que je joue avec un fantôme, trop là pour être absent, trop absent pour être vivable.
Je ne sais pas.
Au jour le jour.
Et puis les vacances,et puis Paris.
Pour rayer cela.
Et avancer.
Mais merde, cette histoire demeure, et je veux l'écrire, l'une des meilleure chose qui me soit arrivée de mon existence.
(Je me suis complétement laissée débordée par les mots, bande de petits salopards d'amour)
Hier, était le dernier jour de l'atelier d'écriture. Là aussi, profondément heureux dans l'absolu d'une tristesse sans fond. Enfin, il y a le tremplin de l'espoir qui assure qu'il n'y avait là aucun réel adieu. C'est le point final de quelque chose d'absolument intense,sublime, serais-je tentée de dire. Il ya les mots et les valses en poésie,bien sur. Il y a les autres plumes confrontrées, les écrits les ratures et les individualités. Il y a cette vague qui nous a tous pris entier, ce vent soufflé dans les profondeurs de la virgule. Il y a l'amour de chacun pour chacun. Il y a une propre directivité de soi à soi. Il y a l'intensité physique, que les larmes chantent doucement, que les rires exultent et que le silence couve. Il y a les mots déliés qui glissent enfin des bouches. L'intensité insoutenablement soutenable d'un instantané soutenu en sussurant le sens aux aguets. La force.
Bien entendu, il y avait lui.
Cela va de soi.
Cela va de soie.
Cela glisse en soi dans la soie infini du souvenir brutal et doux, chassé et adoré, glissant et coupant. C'est la contradiction par excellence,la dialectique capturée en image. Je respire un peu plus fort. Toujours. Chut. "Je t'aime toujours,amour". Peut être, qu'il faudrait avouer à la page inquisitrice que l'acceptation et la résolution totale de cette confrontation où la réalité devrait mettre le dernier coup de couteau dans l'onirisme stigmatisé en mots, réel instantané, souvenirs déchus depuis des mois, est du à ces fragments de rien qu'on accroche toujours au fond de son coeur quand on n'accepte pas le rien, l'echec, la réalité présente. "l'espoir", ou le regard. Je te fixe dans le miroir, juste à côté, les minutes s'enchantent. Puis, mon regard distingue autre chose, sur le côté. Tu en profites pour glisser tes yeux sur le miroir. Qu'est ce que ce sourire. Il y a juste nous-deux dans ce miroir, de profils. Les minutes s'allongent et complotent. Tu me regardes, je n'arrive jamais à le soutenir longtemps. Je sourie. Comme toujours, comme avant et peut être comme jamais. Sur mon marque page du recueil, tu m'as cité "mais il n'avait rien dit". Cette phrase sortie du texte qui disait : Il se soûle au désir de leur corps qui ne se trouveront plus, aux sourires grandis de chaque matin ensemble, où elle était belle mais il n’avait rien dit. Que dois-je entendre moncoeur ? Et quand tu me regardes et que tu me souries, avec cette bouche si mystérieuse qui veut signifier, mais se dérobe, pourtant , à dire ? Et quand tes yeux s'emplissent de larmes pendant que je lis (des textes qui parlent de toi) ? Et de ce que tu n'as rien osé réellement écrire dans mon recueil. Juste un sourire en 3 et une signature. Et les autres larmes quand tu as lu ce que j'avais gribouillé sur ton carnet à toi ? "[...] J'aurais surement beaucoup de chose à vous dire ...... Merci, à l'un des hommes les plus importants de mon existence en pointillées, alongée [...]" Et les souffles dirigées sur ta peau, dans le desespoir d'un au revoir, tout au long de la séance, tu les sentais ?
Et ce pathétisme enclavé dans ce cadre de pixel qui s'amoncelle. Ne-plus-se-juger-Ne-plus-se-juger-Ne-plus-se-juger. Et ne pas penser à quel point j'ai pu être ridicule.
J'avais dit que j'arrêterais.
En octobre l'année dernière.
Et puis, l'été dernier.
Et puis, au début de cette année.
Et puis, à la fin de cette année.
J'avais dit j'avais dit et je suis prête à relancer les dés. Encore. Encore. Encore.
Il suffit d'un soupir, d'une lucidité soudaine pour avouer l'incohérence,l'absurdité totale d'un amour malade, dans le sens où il est vide d'échange concrèe, qu'il se vit dans l'attente, l'appréhension, la douleur, où, le bonheur est passionnel, même égrainé dans un immense. Mais. C'est une connerie. Je m'en rend compte tout les jours depuis plus d'un an et demi. Il y a une avancée, sensible et évidente, par vagues et alanguie. Il y a toujours le soleil de soi en l'autre qui continue de briller quand bien même il n'existerait qu'en poussière. Ces poussières.
"Je suis inquiet pour toi Julie, tu avais dit que tu arrêterais" Mais j'arrête, j'arrête. Enfin. Juste un coup. Encore. Ma reine est pas encore sacrifiée. J'ai balancé le reste au fur et à mesure. Et des pièces me reviennent vivantes. Il faudrait finir la partie. J'ai abandonné une partie du jeu, je consens à le faire, avec difficulté, avec le temps et les autres, peu à peu. Mais je n'arrive pas à provoquer la fin de cette partie que je joue avec un fantôme, trop là pour être absent, trop absent pour être vivable.
Je ne sais pas.
Au jour le jour.
Et puis les vacances,et puis Paris.
Pour rayer cela.
Et avancer.
Mais merde, cette histoire demeure, et je veux l'écrire, l'une des meilleure chose qui me soit arrivée de mon existence.
(Je me suis complétement laissée débordée par les mots, bande de petits salopards d'amour)