Dimanche 18 décembre 2011 à 18:31

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Quizás, soy la que vislumbra, que siente y va, en la imposibilidad de hacer, en la frustración del acto. ¿Voluntad débil o creación profunda? Bailamos sobre los límites del hecho, del ser y del poder. El deseo, del arte, del futuro o del hombre. Bailar, vacilar, y reír, pensado en el sentido que huye.


Regarde s'effondrer des ombles vénéneuses, le ciel est en avance, la vie est en retard,
de verts macchabées dansent au creux de sa mémoire.
Dans ses yeux où la mer se suicide en sari, brûle de arc-en-ciel de sexe et ecstasy,
et son regard s'habille à l'aube en robe noire, un ULM passe dans ses yeux, sans la voir.
(Babx)

(putain, j'ai perdu toute la fin de l'article).

Dimanche 18 décembre 2011 à 18:10

http://imparfaiite.cowblog.fr/images/tumblrlw4ee6IaUw1qeucido1500.jpgCe bracelet noir me joue, j'ai envie de la nuit. La nuit laiteuse ou cassante, la nuit qui hurle, la nuit qui pense. La fraicheur infinie au fond de ton nuage, la présence tout entière du corps blotti à l'infini, contre les parois de l'être pur. Il s'agit de revivre l'être qui déborde, sensible à tout et si fou. Il s'agit de m'envoler encore, quitte à sombrer encore, pendant que le jour revit. Dans la résonance d'un trottoir, dont ne se demande s'il ne va pas filer, la pluie me colle à la taille. Les ballerines vernies en rouge glissent dans les flaques, dans une élégance malhabile. Je ne sais si mon corps survivra le froid, pendant que la Panthéon gouverne, et que le vent charrie le pied des immeubles. Dans la nuit, j'ai gelé au plus profond du corps. La nuit de Paris craquèlera jusqu'à l'envie de ne plus signifier, dans cet infini à repeindre, les souffrances mêmes veulent être épiques. Dans un autre soir plus calme, les rues ne succèdent, juste le brouillard indu. Les images n'inscrivent que leur âme, en oubliant toujours de ne pas me perdre. J'ai envie de la nuit, car la nuit est gratuite. Je marche, ou avec elle. A l'aventure du beau. A l'aventure du rien. Je me jetterai dans la Seine. Maquillée, la nuit, perlée, la nuit, simple, la nuit. Insuffle moi toujours le pouvoir d'être. Insuffle mon amour. Et sinon, je fais l'amour, parfois. Et au bal, ou ailleurs, cherchée des regards, en faisant semblant, que je ne les aies pas appelés.

"C'est la mer noir qui s'est planquée dans les jupons de la statue de la liberté"

(Je reprends, parfois à écrire, mais j'essaye de m'affranchir du lieu. Tout est si difficile, de ne pas se jouer de soi. Et la période est dure. La mort à nouveau, s'est invitée dans ma vie. Quelle aille se faire foutre, et moi aussi.)

Lundi 31 octobre 2011 à 15:22

Du bout des lèvres, ta peau se froisse
Un refrain ? Je ne peux pas te dire que mon coeur est à toi, puisque, je n'en ai pas
Je ne peux pas te définir, c'est pour mieux être libre. Je m'arrache au carcan. Je fais une pause des sentiments. Niés, voilés peut être absents, veuillez laisser un message après le cri strident.

Un, deux, trois
C'est partie.

Le sexe prend-il trop de place dans nos vies ? 
Cet habitude de l'envisager comme concrétisation d'une miette d'absolu (démence). Je me réjouie de te guider au fond de mon être. Je me ré-jouie.
Le temps nous est compté, mais notre respiration bouillonne tant.

Il ne faut que la puissance de l'acte pour refaire jaillir au fond de cette peur la certitude de toi, de nous, relever le passé et entrevoir un vrai. Comme le battement de l'être positif au fin fond de la mascarade, je sais pourquoi nous continuons. Une relation n'est pas purement sensuelle mais nos corps furent le seul moyen de dépasser l'altérité-mur, construite en un seul geste dans la décadence de notre amour. Mais, pourquoi, vraiment, avoir voulu nous retrouver ? Le fait est que je me rassure un peu, et que le miroir même de notre être en fureur de désir nous murmure qu'il reste un peu de beau à trouver en nous et pour nous, un beau bigarré, qui n'a pas le nom d'une relation, un beau peut-être plus sain (pur ?): je ne suis liée à toi que par des regards flous, des paroles vives dans un cocon fanatique, l'extérieur ne connait rien de nos restes à reconstruire. Tu me répète souvent mon prénom comme une incantation "Tu es Julie, du début à la fin tu es Julie". Beau libre qui ne se meut qu'entre nous, pour se filter entre la puissance et la complexité, l'évidence même qu'a toujours revêtue notre amitié. Teinté toujours de délicate insouciance.Tu ne me manques pas, tu n'es pas à moi, tu es un fil conducteur certes mais qui pourrait disparaitre. Je me détache de toi en même temps que je te reconsidère homme. Je me nourrie de toi sans la peur de la faim/fin. Je me détache, des fois, l'espace d'un jour, presque totalement. J'oublie ta présence entière. On joue comme des enfants à rejouer aux premiers jours, à provoquer les commencements indéfinis. Passion immodérée pour l'intense, qu'il soit doux ou violent. Pétris par la peur, il s'agit de s'apprivoiser, soi, à travers l'autre, l'altérité également.

Je ne sais pas, je m'en fous. J'ai envie d'écrire mais je n'ai rien de spécial à dire. J'aime bien les textes de Blanchot sur l'inspiration. Moi, elle peut se provoquer, mais jamais absolument. J'ai envie d'écrire, et je suis las (enfin, tout est relatif car c'est pas comme je l'avais beaucoup fait), de me contraindre que par la forme (l'alexandrin basique, pas trop folichon, mais d'où l'émergence de quelques poèmes, comme les pointes dans la course d'un esprit fatigué, un peu). L'autre m'a reparlé d'un texte de Breton sur l'imagination. J'aime beaucoup Breton mais ces conneries de dire que l'imagination s’essouffle nécessairement au sortir de la jeunesse si on ne l'entretient pas (je veux dire, consciemment), ca me révolte. Je refuse et rejette cette thèse. Tout d'abord car je pense être à peu près honnête en disant qu'empiriquement on peut prouver, voir, sentir, que ce n'est pas vrai et peut-être surtout par ce qu'elle demeure absolument inacceptable, c'est comme la liberté, c'est un postulat nécessaire, bien que fragile (peut-être moins que la liberté mais passons).

Je veux créer dans l'argile, la peinture bleue, le brut des mots
Je pêche pourtant tellement, il faudrait un flux plus ...

La lune te regarde encore, au bord de ta cigarette
L'herbe enchantée de sa course se gorge de la lumière affaiblie du matin d'hiver. J'erre timidement dans les chants noirs de la nuit profonde, en silence. Penchée comme pour s'abandonner, je flotte au dessus des bruissements murmurant des tiges émeraudes, comme pour comprendre le désoeuvrement poétique d'une nature en friche.

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Jeudi 27 octobre 2011 à 20:01

http://imparfaiite.cowblog.fr/images/tumblrltgqqxu7BT1qze11co1500.jpgIl y a des moments où je lui arracherais volontiers la tête.

Dimanche 23 octobre 2011 à 16:31

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Enclavée dans l’instant du trop-plein de doute, j’errance en absolu dans le sursaut d’un vide, avalant automatiquement une page qui ne veut plus être blanche, répondant à une injonction subite, toujours si pleine. Un jour.

Dans la volonté voilée mais indiciblement pure. Mon miracle n’est vu que dans la douleur crasse, tu veux. Le spectacle alanguie d’un bras dégelasse, rempli de mousse volupté.

~~~

Tu es glacée, petite, toujours trop amère, dans l’éprouvance du jour prochain, je le sais. Tu es glacée, ma fille, le sol toujours supporte tes pas qui ne peuvent plus que lécher la surface, dans une langueur infinie, dans une fatigue sans bornes. Racler cette blancheur troublée des autres, racler. Tu es morte, ma belle, contre la salle de bain si blanche et ton sang qui dormait, coule sur le blanc avec une légèreté sans tâche.


 
Mon savoir n’a pas pu s’écrouler devant moi
Il est allé chercher dans le souffle des termes/jours
L’inspiration subite pour manger l’amour
L’ordonnance alanguie pour me passer de toi

La campagne a désertée les champs de mon flou.
Elle avance plus sereine, larme évanouie
Pour tisser et broder un désespoir plus doux,  
Délié du sang séché, lavé de la folie.

Dans la course immense à l’ennemi inconnu,
La vacuité aride d’un désert à venir
Gèle jusqu’au désir de mon corps bien trop nu

Et vole dans l’éclat d’une vérité martyre.
Ma lumière s’efface au plus profond des mots
Violence de ma chair que chaque jour tu.




Mais je vais très bien, oui, il ne faut pas croire.
Sinon, je suis de retour à Nantes, pour une dizaine de jours.

Dimanche 18 septembre 2011 à 13:08

Le sexe barbare.
La vie décousue.
Je bosse, Bergson et compagnie.
J'ai rêvé des filles du lycée.


Vendredi 2 septembre 2011 à 21:33

http://imparfaiite.cowblog.fr/images/Nouveau/Capturedecran20110902a002044.pngA l'aube d'un nouveau jour, je. J'ai, quand j'écris un rythme. Je ne sais si c'est la petite musique dont parle Proust, ou l'habitude de mon anarchie de virgule. Quand j'écris j'ai un rythme. J'aime commencer par une phrase nominale, foutre des virgules partout, jouer les répétitions. Un peu vulgaire pas trop. Et les phrases trop courtes. Et l'adverbe qui se racole, toujours. Je n'écris plus et je le sens. Cet été, plus tôt dans l'été, je tremblais avec un crayon et un carnet. Les évènements passés, trop de choses à ne pas vouloir remuer. Trop de livres aussi. Il y a deux types d'étudiants en lettres, si je caricature. Ceux qui écrivent toujours plus, persuadés de leur génie (pas forcément les plus doués) et ceux que lire font taire (pas forcément les plus intelligents). Il y a un intermédiaire ou la lecture abreuve l'écriture. Mais trop de Proust, Genette, et tutti quanti, cela ne m'a pas aidé. Trop de beauté d'un coup, d'analyses et de commentaires, cela donne envie de se taire. Surtout quand ce que l'on écrit n'a jamais été de l'écriture, un "gribouillage", selon mon expression consacrée (que j'ai abandonnée, un peu trop private-joke à soi-même, un peu con). Bref, Mais tout de même. Raconter ma vie, aussi, a commencé à me paraître absolument vide. Et quand j'écris cela je me rends compte que cela me met encore mal à l'aise. Cela est l'une des raisons (et non pas la seule bien sûr) mais qui m'a encouragé à pousser l'écriture, à travailler là-dessus, comme pour trouver une légitimité. Enfin, plus véritablement, c'est le fait d'éprouver des sensations inconnues et démesurées qui m'ont poussées fondamentalement à chercher des mots plus vrais, et donc de me tourner vers la poésie. La quête de l’indicible. Capturer l'émotion, l'instant, l'amour, la haine, le désespoir. Il n'a pas s'agit d'un courageuse entreprise littéraire mais d'un besoin pressent. Mais l'écriture s'entretient. Le bonheur d'abord, la prépa puis une sorte de désillusion générale (état plus ou moins avancé du désespoir, à définir) font que je n'ai plus écrit. Le temps et l'envie manquent. Et ensuite vient le temps ou les choses ne viennent plus. Même dans les émotions les plus fortes. Je perds. Comme celui qui ne dessine plus. Bien sûr, rien n'est perdu et il est évident qu'il n'y avait de toute manière pas grand chose à perdre, mais ce peu, plus j'avance dans cet article, plus je sens que je ne veux pas le perdre. J'y pense depuis un bout de temps. Mais je n'ai plus le même aliment à moudre, celui qui m'a toujours fait écrire. L'émotion (je ne suis plus amoureuse, pas franchement désespérée, pas fondamentalement en colère, ni absolument heureuse). Peut être que plus encore, l'introspection commence à m'exaspérer au plus haut point. Je suis dans un moment de ma vie où les questions qui se posent ne peuvent obtenir dans l'immédiat ou peut être même jamais des réponses. Depuis un an, le fait de réfléchir sur moi-même m'ennuie. J'ai pas mal bossé sur moi même, pour comprendre relativement instantanément sans avoir besoin et envie d'utiliser le papier. Ce que je supporterais serait une sorte d'impressionnisme tactile. Facile à dire/écrire.
J'ai pris confiance en moi sur plein de choses, j'ai perdu de la confiance en écriture. Le petit peu qui fait sauter le pas de la page blanche. Celui de la vraie page blanche, la page à défi, où l'écriture en elle-même est problème. Ce bloc qui s'allonge est cependant un début.

J'ai toujours aimé écrire. Pour pleins de bonnes et de mauvaises raisons. Par besoin, originellement et fondamentalement, par "philosophie" (dans le sens d'une expérience intellectuelle (j'aurais envie de dire ontologique mais on va dire que je jargonne)), pour ma confiance (histoire de me dire que je pourrais éventuellement être un petit bonne dans autre chose que les cours). Après, il y a tout le côté humain que cela m'a apporté, par le blog et d'autres expériences mais cela fut plus d'heureuses surprises de parcours.

Si je voulais continuer à me poser des questions, je me demanderais pourquoi je choisis toujours ce support du blog.
Et si 1)quelques personnes lisent encore ici 2) et sont arrivées à ce point de l'article 3)et  ont également un blog, j'aimerais bien avoir leur avis en tout franchise.
Comme pour la plupart des personnes qui tienne une "page internet" (autre, auto jargon à bannir, mais pour ma défense le mot blog est peu classe et peut renvoyer à des réalités qui me rebutent), j'ai un rapport étrange à cet endroit. La thématique vue et revue du vu sans être vu.
Pour moi, il y a la raison très pragmatique que je tape plus vite que j'écris, donc quand ma pensée fuse, je peu (à peu près) suivre.
Je sais que les raisons de maintenant, ne sont plus celles d'hier. Aujourd'hui, il y a le côté continuité. Je tiens ce blog depuis longtemps, et cette dimension de temporalité suivie me plait. Il y a également la possibilité esthétique que cela apporte, le fait de pouvoir ajouter photos, musiques ...
Oui, il y a le côté Duras, "écrire, c'est hurler en silence". Le blog c'est le paroxysme.
Le côté "être lu", a perdu en importance d'années en années. Très présent au début, il est désormais facultatif, je pense. Le fait de "pouvoir être lu", me suffit. La réalisation effective de la chose peut me réjouir dans la mesure où cela a pu me permettre d'avancer, de rencontrer des gens très chouettes, de confronter les points de vue. Mais cela n'est pas essentiel.

en résumé, il faut que je recommence à écrire, ilfaut, il faut. Par ce que cela me manque, et que plus j'attends plus cela est difficile.
 

Vendredi 26 août 2011 à 12:32

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Revenue ("comme on rentrerait au port"). Je me souviens ("je me rappelle"), la crise avant de partir. Ma tête qui se frottait sur les bords, martèle martèle. Les larmes comme des torrents, la douleur trop rauque. La peur me ronge(ait). Et ce baiser, peut être.
Finalement, cela m'a fait beaucoup de bien. J'ai bronzé, pris le soleil, parlé espagnol, fait du sport. Je reviens mieux. Mais avec le stylo toujours vide. Moins d’appréhension, pour cette rentrée. Un peu quand même. Je n'ai pas travaillé. Je vais le revoir. Je prie pour qu'il n'y ait plus de désirs. 

J'écoute de la musique. Superbe.

Bashung + Noir Désir = Ivresse.
Voyages en solitaires, il faudra manger la terre entière, quelque chose de terriblement autre. Le moyen de voler est toujours flou, peut être inexistant. Dans l'absolu à la dérive, il vogue dans une mer pourpre, de sa douleur saignante, jamais assouvie. La morphine n'est plus si belle et ne permet plus d'écrire, seulement de crier, hurler entre virgules. Manière transeécrite, de l'express de ta nuque. 

Samedi 30 juillet 2011 à 21:47

- Ca, ma chérie, c'est un état dépressif

(...)
Go on go on
Je vais en Espagne trois semaines. J'ai pas envie.

Mardi 26 juillet 2011 à 11:19

Envie de simplicité, de légèreté, voire de quelque chose d'aérien. (Mon exact opposé ?)
Je suis tellement fatiguée de cette âme qui a trop voyagée. L'impression d'avoir trop vécu pour mon âge, je voudrais quelque chose de stable, mais beau.
http://fc02.deviantart.net/fs50/f/2009/334/1/6/166bd127bef8cb4844fa1b4d14887895.jpg

Samedi 9 juillet 2011 à 0:18

http://imparfaiite.cowblog.fr/images/Utilise/2582107462235663915585998091848933481636n.jpgSerais-je perdu
Assassin
N'espérant plus
Que la fin
Serai-je encore
Là demain
Ne craignant plus
Le destin
Le destin

Je me cherche
Ne trouve rien
Quelques mots froissés au matin
L'obscurité vient enfin
Un bruit étrange vient soudain
Vient soudain

Tous mes regrets
Sont sans fin
Et je n'attends presque rien
Pas de remords évanouis
Je reste là
En sursis
En sursis

Serais-je perdu
Assassin
N'espérant plus
Que la fin
Serais-je perdu
Assassin
N'espérant plus
Que la fin
Que la fin

"Moi, ravagé
Irrécupérable
Détruit
Inaltérable
Immaculé
Déchiré"

Serais-je perdu
Serais-je perdu
Serais-je perdu
Serais-je perdu
Perdu
...

Je peux m'estimer heureux
Je peux m'estimer


Toujours une chanson de Daniel Darc
Je me la (panse) passe en boucle.
Je vais recommencer à écrire.

Mercredi 6 juillet 2011 à 19:45

http://imparfaiite.cowblog.fr/images/Utilise/Melete2theBorderbyShaalth.jpgJe ne veux pas dormir.
Alors, harassée, je m'englue.
Tous ces hommes, c'est trop.
J'ai mal et je garde garde garde.
Rien ne sort.
Enfermée dans mon silence, je voudrais tout dire et je ne fais rien.
Je m'épuise, c'est tout.
Je ne sais plus ce qui se passe.
Et l'autre : " Tu sais, te voir et parler avec toi, cela m'émerveille. Inutile d'en dire plus."
 Mec, je ne sais pas si c'est vraiment le moment. 

Je lis des tragédies.
J'ai la peau à fleur de désir.
Je ne regrette rien. 

 


Vidéo du concert du 23 juin

Jeudi 23 juin 2011 à 10:46

C'est tellement compliqué.
"On n'arrive pas à se quitter"- Mais c'est par ce que tu es une part de moi.
Je doute.

Lundi 20 juin 2011 à 16:29


En m’essayant sur la boue
J’ai prié
En me mettant à genoux
J’ai pleuré

Je porte la main à mon cœur mais
Je ne sais plus de quel côté il est

Tout mène à tout
Et rien ne mène nulle part
Regard dans le vide
Fasciné de déjà m’y voir

Je porte la main à mon cœur mais
Je ne sais plus de quel côté il est

J’ai entendu une voix autrefois
Tiens ton arme en enfer et jamais plus
Ne désespère

Je porte la main à mon cœur mais
Je ne sais plus de quel côté il haïssait
(...)

 

UN PEU C'EST TOUT

Parfois je ne sens rien
Je perds l’équilibre et c’est tout
Parfois le matin je me réveille
A genoux

Tout bascule en arrière
Quelques larmes de verre
Se brisent de dégoût
Me paralyse un peu c’est tout

Un peu c’est tout
Un peu c’est tout

Parfois je sens bien au fond de mon corps
Des va-et-viens
J’ai mal mais c’est bien trop de bruit pour
Presque rien

Lentement je joins les deux mains
Espérant à peu près tout
Pourtant rien ne vient
Un peu de vide et puis c’est tout

Un peu c’est tout
Un peu c’est tout


« Pardonnez nos enfances
Comme nous pardonnons
A ceux qui nous ont enfantés »

 

 

Jeudi 16 juin 2011 à 21:01

Ce souffle si intense contre ma peau. La respiration n'en peut plus. Mon corps s'arrache de lui-même. Résister, pourtant. "Je t'en supplie".
Et finalement?

~~~
Je te hais de tout salir. Et j'ai honte. Violemment. Détruire.

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